Pepper a écrit :Source of the post tin j'ai vu le match jusqu'à la 80eme et quand je rentre chez moi je vois une défaite mais Quel est le Fuck là ? bordel
on avait le match en main.. On doit tuer le match depuis des lustres...
le match en main c'est bcp dire... On n'a pas eu pléthore d'occasions et les fins de matchs sont tjs fébriles qq soit l'entraîneur..l'effet stade Mauroy;
On a bien vendangé quand même
Maia qui " tope " son ballon à l'entrée de la surface, il cadre le gardien est battu
puis le combiné maia/benzia je sais plus qui donne à qui... puis qui atterri dans les nuages
Une paire de ballon non cadré alors que le gardien était battu
Maia qui " tope " son ballon à l'entrée de la surface, il cadre le gardien est battu
puis le combiné maia/benzia je sais plus qui donne à qui... puis qui atterri dans les nuages
Une paire de ballon non cadré alors que le gardien était battu
Christophe Galtier, l'entraîneur de Lille, a pointé la «grosse faiblesse mentale» de son équipe qui a craqué en fin de match et s'est incliné mercredi à domicile contre Rennes (2-1).
«Quelle est votre réaction après la défaite de votre équipe, renversée par Rennes (1-2) ?
Ce sont trois points de perdus quand on mène 1-0 a la 85e minute. Mais c'était un score flatteur par rapport au contenu du match. La déception porte sur le résultat mais pas seulement. On n'a pas eu l'envie d'entreprendre ce soir. Notre animation avait été intéressante samedi à Caen (victoire 1-0) , mais aujourd'hui ce n'était pas suffisant. J'ai fait des changements pour être plus compact, mais ça n'a pas été le cas. Il y a trop d'écart entre ce qu'on a pu faire samedi à Caen et ce qu'on n'a pas fait ce soir.
Comment expliquez-vous cet écart ?
On aurait dû mettre plus d'intensité dans la récupération. J'ai trouvé l'équipe très peu mobile, très peu joueuse. Alors qu'on a eu le bonheur de mener à la pause, après on a été beaucoup moins bien sur le plan athlétique et mental, et c'est lié. On a montré une grosse faiblesse mentale. L'équipe doit être beaucoup plus dure à manoeuvrer, à battre, même quand l'adversaire est supérieur. Dans notre situation, on ne peut pas baisser les bras aussi facilement. Cette faiblesse mentale fait qu'on bascule du mauvais côté. Est-ce que c'est du relâchement, du renoncement ou juste moins de détermination ? Je ne sais pas. On en parlera avec les joueurs.
Cette défaite est-elle un gros coup d'arrêt ?
Je connais la difficulté de la tâche, les caractéristiques de l'effectif. Je savais qu'on n'allait pas gagner tous les matches de la reprise. Je dois transmettre aux joueurs qu'il ne peut pas y avoir que la qualité technique et le jeu pour gagner. Il faut de la détermination. J'ai trouvé que mon bloc était trop bas. J'ai essayé de rectifier à la mi-temps mais en fin de match on a cédé, je dirais logiquement. Ce «logiquement» me reste en travers de la gorge. J'ai vu les joueurs souffrir, pour certains ça a été difficile sur le plan physique. Mais d'autres auraient dû en faire beaucoup plus, être plus durs, plus vaillants. Il y a eu un problème athlétique, mais aussi d'attitude.»
«Quelle est votre réaction après la défaite de votre équipe, renversée par Rennes (1-2) ?
Ce sont trois points de perdus quand on mène 1-0 a la 85e minute. Mais c'était un score flatteur par rapport au contenu du match. La déception porte sur le résultat mais pas seulement. On n'a pas eu l'envie d'entreprendre ce soir. Notre animation avait été intéressante samedi à Caen (victoire 1-0) , mais aujourd'hui ce n'était pas suffisant. J'ai fait des changements pour être plus compact, mais ça n'a pas été le cas. Il y a trop d'écart entre ce qu'on a pu faire samedi à Caen et ce qu'on n'a pas fait ce soir.
Comment expliquez-vous cet écart ?
On aurait dû mettre plus d'intensité dans la récupération. J'ai trouvé l'équipe très peu mobile, très peu joueuse. Alors qu'on a eu le bonheur de mener à la pause, après on a été beaucoup moins bien sur le plan athlétique et mental, et c'est lié. On a montré une grosse faiblesse mentale. L'équipe doit être beaucoup plus dure à manoeuvrer, à battre, même quand l'adversaire est supérieur. Dans notre situation, on ne peut pas baisser les bras aussi facilement. Cette faiblesse mentale fait qu'on bascule du mauvais côté. Est-ce que c'est du relâchement, du renoncement ou juste moins de détermination ? Je ne sais pas. On en parlera avec les joueurs.
Cette défaite est-elle un gros coup d'arrêt ?
Je connais la difficulté de la tâche, les caractéristiques de l'effectif. Je savais qu'on n'allait pas gagner tous les matches de la reprise. Je dois transmettre aux joueurs qu'il ne peut pas y avoir que la qualité technique et le jeu pour gagner. Il faut de la détermination. J'ai trouvé que mon bloc était trop bas. J'ai essayé de rectifier à la mi-temps mais en fin de match on a cédé, je dirais logiquement. Ce «logiquement» me reste en travers de la gorge. J'ai vu les joueurs souffrir, pour certains ça a été difficile sur le plan physique. Mais d'autres auraient dû en faire beaucoup plus, être plus durs, plus vaillants. Il y a eu un problème athlétique, mais aussi d'attitude.»
L’idiot du villaz, j’ai jamais été fan
Le constat lucide de Galtier est un sacré camouflet pour le recruteur et le préparateur !
Des jeunes repérés comme doués, mais au physique insuffisant pour la L1.
Et ça n'est pas avec ce calendrier idiot que Galtier pourra entreprendre quoi que ce soit dans ce domaine.
Des jeunes repérés comme doués, mais au physique insuffisant pour la L1.
Et ça n'est pas avec ce calendrier idiot que Galtier pourra entreprendre quoi que ce soit dans ce domaine.
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