Mazraoui et Van De Beek fortement incertains pour mardi prochain
https://www.lepetitlillois.com/2019/09/ ... ssion=true
https://www.lepetitlillois.com/2019/09/ ... ssion=true
« Ne vous inquiétez pas, on va être champions » Burak Yilmaz
james a écrit :Source of the postn'as tu pas une connaissance qui est abonné a canal syellite, si oui tu lui drmandes ses identifiants avec mot de passe de son abo, tu telecharge 'my canal ' sur tablette ou ordi et tu clicques sur le bandeau mla rubrique. " sports" et tu choisis ta télé.Paranormal a écrit :Source of the postbenosc a écrit :Source of the post
Vraiment? J'ai toujours eu des supers liens en streaming pour la ldc, peu importe le support utilisé (tablette ou pc)...
Je veux bien que tu partage ton bonheur alors.
L'idée est bonne mais si tu te connectes avec le meme compte sur plus de 4 sources, canal te demande de changer ton mot de passe et bloque la connection avec le message "trop d'appareils sont connectés avec vos identifiants"
bien sûr mais seulement pour le atch tu peux t arrangerbenosc a écrit :Source of the postjames a écrit :Source of the postn'as tu pas une connaissance qui est abonné a canal syellite, si oui tu lui drmandes ses identifiants avec mot de passe de son abo, tu telecharge 'my canal ' sur tablette ou ordi et tu clicques sur le bandeau mla rubrique. " sports" et tu choisis ta télé.
L'idée est bonne mais si tu te connectes avec le meme compte sur plus de 4 sources, canal te demande de changer ton mot de passe et bloque la connection avec le message "trop d'appareils sont connectés avec vos identifiants"
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
Ancien du LOSC, Johnny Ecker revient sur ses plus grands souvenirs de Ligue des champions
À l’heure où le LOSC retrouve le chemin de la Ligue des champions, nous avons demandé à d’anciens joueurs de plonger dans leurs souvenirs pour évoquer les grandes soirées européennes du club. Aujourd’hui, Johnny Ecker (46 ans) s’y colle. Lillois de 1999 à 2002, le défenseur a vécu la première campagne de C1 des Dogues en 2001-2002.
Par Philippe Guilbaud | Publié le 15/09/2019
– Quel souvenir gardez-vous de vos matchs de Ligue des champions ?
« Cette compétition, on ne s’attendait pas à la disputer. On venait juste de remonter en L1. Mais pour tout joueur de club, la suprématie, c’est de jouer la Ligue des champions. On avait commencé par le tour préliminaire contre Parme. Ça ne parle pas à grand-monde aujourd’hui, mais, à l’époque, Parme, c’était un grand d’Europe avec Frey, Nakata, Boghossian, Cannavaro… Le souvenir, c’est évidemment le coup franc que je marque au match aller (0-2).
https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=VaFyaQbHRWE
Pour nous, ce n’était que du bonus. On prenait match par match. On s’attendait à ce que ce soit difficile et que ça nous pompe du jus. Surtout qu’on n’était que deux à avoir déjà joué des matches en coupe d’Europe ; et moi, c’était avec Nîmes en Coupe des coupes. L’avantage, c’est qu’on connaissait nos qualités et nos défauts. On savait être humbles. On en a «chié» ensemble, on ne s’est jamais disputés sauf pour faire avancer l’équipe. Un état d’esprit que je n’ai jamais retrouvé ailleurs. »
– Quel est l’adversaire qui vous a le plus donné le tournis ?
« Je dirais presque tous. Contre Manchester United, j’étais au marquage individuel de Beckham. Le coach m’avait demandé d’aller le chercher très bas parce qu’il n’avait pas besoin de déborder pour centrer. »
https://www.youtube.com/watch?v=ABkZImiDCSo
– Quel public vous a marqué ?
« Je me souviens que le match retour à l’Olympiakos, ça avait été l’enfer. Le public était costaud, bruyant. Ce n’était pas évident (défaite 2-1). On découvrait tout ça. C’est une chose de vous raconter comment est un public, c’en est une autre de le vivre en vrai. »
– Avec quel partenaire vous entendiez-vous le plus ?
« Je faisais chambre commune avec Allibert, le gardien remplaçant que j’avais connu à Nîmes. Sinon, je m’entendais bien avec tout le groupe. On était une bande de copains. J’ai beaucoup de fierté pour Dagui Bakary, longtemps critiqué, mais qui était un joueur et un homme exceptionnel. Il en a vu de toutes les couleurs. Je suis très fier de ce qu’il a fait, à l’image du LOSC. »
– Quelle place tenait Vahid Halilhodzic dans cette ambiance et ces résultats ?
« Vahid, je lui ai dit que je ne voulais plus l’avoir comme coach. Mais je lui dois tout mon parcours. Je ne le remercierai jamais assez. Il savait crier quand il fallait, piquer quand il fallait. Ça marchait avec nous, modestes joueurs de L2 et de L1, mais il n’a pas adapté son discours avec les stars comme Pauleta. C’est pour ça que ça n’a pas marché au PSG. Contre Parme, il a été exceptionnel au niveau tactique. Sa rigueur, dans tout ce qu’il faisait, nous a beaucoup fait rire. On avait l’impression d’arriver au bagne. Mais c’est cette rigueur que j’essaie d’inculquer aux gamins de mon club(EFC Beaucaire). »
– Et si vous pouviez rejouer une action ?
« Contre l’Olympiakos, au retour : à 0-0, je me retrouve sur un corner au coin des 18 mètres, je fais une volée qui va s’écraser sur le poteau... Ensuite, en Ligue Europa, on est éliminés par Dortmund. À l’aller (1-1), j’enroule une belle frappe du droit qui finit sur le poteau. »
https://www.youtube.com/watch?v=hBDthK884ks
– Suivez-vous toujours le LOSC et la Ligue des champions ?
« Oui, comme tout amateur de foot. Avec le nombre de matchs diffusés, ça a perdu un peu de sa saveur, sauf à partir des huitièmes de finale. Je suis toujours les résultats du LOSC, qui a changé de standing et qui le mérite. »
https://www.lavoixdunord.fr/637934/arti ... 1568564942
À l’heure où le LOSC retrouve le chemin de la Ligue des champions, nous avons demandé à d’anciens joueurs de plonger dans leurs souvenirs pour évoquer les grandes soirées européennes du club. Aujourd’hui, Johnny Ecker (46 ans) s’y colle. Lillois de 1999 à 2002, le défenseur a vécu la première campagne de C1 des Dogues en 2001-2002.
Par Philippe Guilbaud | Publié le 15/09/2019
– Quel souvenir gardez-vous de vos matchs de Ligue des champions ?
« Cette compétition, on ne s’attendait pas à la disputer. On venait juste de remonter en L1. Mais pour tout joueur de club, la suprématie, c’est de jouer la Ligue des champions. On avait commencé par le tour préliminaire contre Parme. Ça ne parle pas à grand-monde aujourd’hui, mais, à l’époque, Parme, c’était un grand d’Europe avec Frey, Nakata, Boghossian, Cannavaro… Le souvenir, c’est évidemment le coup franc que je marque au match aller (0-2).
https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=VaFyaQbHRWE
Pour nous, ce n’était que du bonus. On prenait match par match. On s’attendait à ce que ce soit difficile et que ça nous pompe du jus. Surtout qu’on n’était que deux à avoir déjà joué des matches en coupe d’Europe ; et moi, c’était avec Nîmes en Coupe des coupes. L’avantage, c’est qu’on connaissait nos qualités et nos défauts. On savait être humbles. On en a «chié» ensemble, on ne s’est jamais disputés sauf pour faire avancer l’équipe. Un état d’esprit que je n’ai jamais retrouvé ailleurs. »
– Quel est l’adversaire qui vous a le plus donné le tournis ?
« Je dirais presque tous. Contre Manchester United, j’étais au marquage individuel de Beckham. Le coach m’avait demandé d’aller le chercher très bas parce qu’il n’avait pas besoin de déborder pour centrer. »
https://www.youtube.com/watch?v=ABkZImiDCSo
– Quel public vous a marqué ?
« Je me souviens que le match retour à l’Olympiakos, ça avait été l’enfer. Le public était costaud, bruyant. Ce n’était pas évident (défaite 2-1). On découvrait tout ça. C’est une chose de vous raconter comment est un public, c’en est une autre de le vivre en vrai. »
– Avec quel partenaire vous entendiez-vous le plus ?
« Je faisais chambre commune avec Allibert, le gardien remplaçant que j’avais connu à Nîmes. Sinon, je m’entendais bien avec tout le groupe. On était une bande de copains. J’ai beaucoup de fierté pour Dagui Bakary, longtemps critiqué, mais qui était un joueur et un homme exceptionnel. Il en a vu de toutes les couleurs. Je suis très fier de ce qu’il a fait, à l’image du LOSC. »
– Quelle place tenait Vahid Halilhodzic dans cette ambiance et ces résultats ?
« Vahid, je lui ai dit que je ne voulais plus l’avoir comme coach. Mais je lui dois tout mon parcours. Je ne le remercierai jamais assez. Il savait crier quand il fallait, piquer quand il fallait. Ça marchait avec nous, modestes joueurs de L2 et de L1, mais il n’a pas adapté son discours avec les stars comme Pauleta. C’est pour ça que ça n’a pas marché au PSG. Contre Parme, il a été exceptionnel au niveau tactique. Sa rigueur, dans tout ce qu’il faisait, nous a beaucoup fait rire. On avait l’impression d’arriver au bagne. Mais c’est cette rigueur que j’essaie d’inculquer aux gamins de mon club(EFC Beaucaire). »
– Et si vous pouviez rejouer une action ?
« Contre l’Olympiakos, au retour : à 0-0, je me retrouve sur un corner au coin des 18 mètres, je fais une volée qui va s’écraser sur le poteau... Ensuite, en Ligue Europa, on est éliminés par Dortmund. À l’aller (1-1), j’enroule une belle frappe du droit qui finit sur le poteau. »
https://www.youtube.com/watch?v=hBDthK884ks
– Suivez-vous toujours le LOSC et la Ligue des champions ?
« Oui, comme tout amateur de foot. Avec le nombre de matchs diffusés, ça a perdu un peu de sa saveur, sauf à partir des huitièmes de finale. Je suis toujours les résultats du LOSC, qui a changé de standing et qui le mérite. »
https://www.lavoixdunord.fr/637934/arti ... 1568564942
LOSC - Ligue des champions : « Parler d’abord d’émotion », promet notre consultant Laurent Peyrelade
Une nouveauté, cette saison, en Ligue des champions : un consultant interviendra pour nous à l’occasion des rencontres du LOSC, à domicile comme à l’extérieur. Laurent Peyrelade, ancien de la maison nordiste, et désormais entraîneur de Rodez, a accepté le challenge.
Par O. F. | Publié le 15/09/2019
Laurent Peyrelade, qui a porté le maillot lillois entre 1997 et 2001, est l’actuel entraîneur de Rodez. PHOTO PIERRE ROUANET - VDNPQR
À l’occasion de cette Ligue des champions, Laurent Peyrelade sera le consultant de La Voix du Nord. Sa rubrique paraîtra les jours de matchs du LOSC – il y livrera ses sensations –, ainsi que les lendemains – il y dressera ses analyses techniques. C’est une première pour l’ancien numéro 7 des Dogues, qui a porté le maillot nordiste entre 1997 et 2001.
« Je ne l’ai jamais fait et ça va être intéressant, clame-t-il d’entrée. L’idée est plaisante, en tout cas. Je vais essayer de ne pas parler que de jeu car le football de haut niveau, c’est d’abord de l’émotion, des moments de bonheur. Avec moi, ça sera l’émotion’s League ! »
Le choix s’est porté sur Laurent Peyrelade, 49 ans, pour plusieurs raisons. Professionnel sérieux, il a plus de trois cents matchs en Ligue 1 et Ligue 2 au compteur. Le milieu de terrain, né à Limoges, a commencé à Nantes, avant de porter le maillot du Mans (deux épisodes), du LOSC et de Sedan. Il a aussi connu un peu l’Europe avec quatre matchs de Ligue des champions avec les Canaris et deux autres de Ligue Europa dans les Ardennes.
« Dans le Nord, je me suis fait de vrais amis »
Mais personne, et surtout pas lui, n’a oublié son passage dans le Nord. Quatre saisons, entre 1997 et 2001, qu’il qualifie lui-même d’inoubliables : « Je suis arrivé dans les bagages de Thierry Froger. Le LOSC, à l’époque, c’est un club qui me parlait, mais que je ne connaissais pas. C’était un club de Ligue 1 qui était en Ligue 2 et qui avait de l’ambition. Et Grimonprez-Jooris… Quel stade ! Quelle ambiance ! C’était fantastique. Quand j’ai signé, je ne pensais pas que je resterais aussi longtemps. Au cours de mes dix saisons professionnelles, deux groupes m’ont marqué, deux endroits : c’est Le Mans et Lille ! »
L’homme fait partie intégrante de l’histoire du LOSC, de la génération Vahid Halilhodzic. Il a contribué au retour du club nordiste au sein de l’élite, lors de la saison 2000-2001. Dans la foulée, Lille s’est qualifié pour la Ligue des champions sur un but de… Laurent Peyrelade. Une splendide demi-volée réussie en terre monégasque sur une longue ouverture d’Abdelilah Fahmi.
Les supporters des Dogues n’ont pas non plus oublié ce but inscrit à la dernière minute lors d’un derby contre Lens, en septembre 2000. « La saison de la montée, on avait le sentiment d’être invincible. On avait un groupe exceptionnel avec un entraîneur charismatique qui tirait le meilleur de chaque joueur, insiste-t-il. Dans le Nord, je me suis fait de vrais amis comme Patrick Collot ou Grégory Wimbée. J’ai été accueilli comme jamais par une famille de Chéreng avec qui je suis toujours en contact. »
Aujourd’hui, Laurent Peyrelade surfe sur une dynamique positive à Rodez, club dont il a pris les rênes en CFA en 2015 et qu’il a ramené en Ligue 2.
https://www.lavoixdunord.fr/637938/arti ... consultant
Une nouveauté, cette saison, en Ligue des champions : un consultant interviendra pour nous à l’occasion des rencontres du LOSC, à domicile comme à l’extérieur. Laurent Peyrelade, ancien de la maison nordiste, et désormais entraîneur de Rodez, a accepté le challenge.
Par O. F. | Publié le 15/09/2019
Laurent Peyrelade, qui a porté le maillot lillois entre 1997 et 2001, est l’actuel entraîneur de Rodez. PHOTO PIERRE ROUANET - VDNPQR
À l’occasion de cette Ligue des champions, Laurent Peyrelade sera le consultant de La Voix du Nord. Sa rubrique paraîtra les jours de matchs du LOSC – il y livrera ses sensations –, ainsi que les lendemains – il y dressera ses analyses techniques. C’est une première pour l’ancien numéro 7 des Dogues, qui a porté le maillot nordiste entre 1997 et 2001.
« Je ne l’ai jamais fait et ça va être intéressant, clame-t-il d’entrée. L’idée est plaisante, en tout cas. Je vais essayer de ne pas parler que de jeu car le football de haut niveau, c’est d’abord de l’émotion, des moments de bonheur. Avec moi, ça sera l’émotion’s League ! »
Le choix s’est porté sur Laurent Peyrelade, 49 ans, pour plusieurs raisons. Professionnel sérieux, il a plus de trois cents matchs en Ligue 1 et Ligue 2 au compteur. Le milieu de terrain, né à Limoges, a commencé à Nantes, avant de porter le maillot du Mans (deux épisodes), du LOSC et de Sedan. Il a aussi connu un peu l’Europe avec quatre matchs de Ligue des champions avec les Canaris et deux autres de Ligue Europa dans les Ardennes.
« Dans le Nord, je me suis fait de vrais amis »
Mais personne, et surtout pas lui, n’a oublié son passage dans le Nord. Quatre saisons, entre 1997 et 2001, qu’il qualifie lui-même d’inoubliables : « Je suis arrivé dans les bagages de Thierry Froger. Le LOSC, à l’époque, c’est un club qui me parlait, mais que je ne connaissais pas. C’était un club de Ligue 1 qui était en Ligue 2 et qui avait de l’ambition. Et Grimonprez-Jooris… Quel stade ! Quelle ambiance ! C’était fantastique. Quand j’ai signé, je ne pensais pas que je resterais aussi longtemps. Au cours de mes dix saisons professionnelles, deux groupes m’ont marqué, deux endroits : c’est Le Mans et Lille ! »
L’homme fait partie intégrante de l’histoire du LOSC, de la génération Vahid Halilhodzic. Il a contribué au retour du club nordiste au sein de l’élite, lors de la saison 2000-2001. Dans la foulée, Lille s’est qualifié pour la Ligue des champions sur un but de… Laurent Peyrelade. Une splendide demi-volée réussie en terre monégasque sur une longue ouverture d’Abdelilah Fahmi.
Les supporters des Dogues n’ont pas non plus oublié ce but inscrit à la dernière minute lors d’un derby contre Lens, en septembre 2000. « La saison de la montée, on avait le sentiment d’être invincible. On avait un groupe exceptionnel avec un entraîneur charismatique qui tirait le meilleur de chaque joueur, insiste-t-il. Dans le Nord, je me suis fait de vrais amis comme Patrick Collot ou Grégory Wimbée. J’ai été accueilli comme jamais par une famille de Chéreng avec qui je suis toujours en contact. »
Aujourd’hui, Laurent Peyrelade surfe sur une dynamique positive à Rodez, club dont il a pris les rênes en CFA en 2015 et qu’il a ramené en Ligue 2.
https://www.lavoixdunord.fr/637938/arti ... consultant
solid.snake a écrit :Source of the post Arbitre Serbe :
http://arbitrezvous.blogspot.com/2019/0 ... s-des.html
Bradaric aime ça !
dodger a écrit :Source of the postNorthSide a écrit :Bradaric aime ça !
Pas sûr, les Croates et les Serbes ne s'aiment pas trop même s'ils partagent la même langue.
Oui 2ème degré... attention aux cartons !
LILLE LOSC - Ligue des champions : « On ne va pas à Amsterdam pour visiter »
À l’issue de la victoire contre Angers (2-1), vendredi soir, grâce à des buts signés Victor Osimhen et Luiz Araujo, le club nordiste s’est immédiatement mis en mode Ligue des champions. Les Lillois décollent pour Amsterdam ce lundi après-midi. Le compte à rebours est lancé.
Par Olivier Fosseux | Publié le 15/09/2019
José Fonte, Victor Osimhen et les Lillois décollent pour Amsterdam ce lundi après-midi. PHOTO BAZIZ CHIBANE - VDNPQR
> Le groupe a-t-il compris le débriefing musclé de vendredi soir ?
Christophe Galtier a reparlé avec ses joueurs de la fin de match contre Angers et de son débriefing à chaud. L’entraîneur du LOSC avait pointé du doigt la baisse de concentration qui avait relancé les Angevins.
Il a précisé sa réaction : « J’ai commencé par les féliciter car ce n’est jamais facile de gagner un match. On a fait un vrai bon match. C’est vrai qu’il pouvait ensuite y avoir un décalage dans mon ton, mais l’exigence du haut niveau demande de ne laisser aucune chance à l’adversaire. »
> Qu’a pensé Christophe Galtier de la victoire de l’Ajax samedi ?
« On avait déjà travaillé sur l’Ajax, mais je souhaitais voir un match en tribune pour avoir un ressenti en direct », explique l’entraîneur pour justifier son déplacement à Amsterdam, samedi. Au côté de Diego Perez, responsable de la cellule vidéo, il a assisté à la victoire des Ajacides contre Heerenveen (4-1). Et n’a pas été surpris.
« Ça représente ce que j’ai vu en images et je pense que ça ne sera pas la même équipe. Contre nous, l’Ajax va mettre plus d’intensité. Cette équipe a une capacité technique, une capacité à étouffer l’adversaire. On a aussi vu la double confrontation contre le PAOK. On a beaucoup d’éléments. »
> Pourquoi les Lillois ne s’entraînent pas sur la pelouse d’Amsterdam ce lundi ?
Les Nordistes ont récupéré samedi avant d’enchaîner avec des séances essentiellement tactiques. Ce lundi matin, ils seront à Luchin et ne s’envoleront vers Amsterdam qu’en milieu d’après-midi. « On sort d’une coupure et je n’ai pas eu mon effectif pendant douze jours. J’ai besoin de temps pour travailler sur le match, justifie Galtier. En plus, les séances d’entraînement Ligue des champions sur le terrain sont limitées en temps. On a une heure, c’est tout. Au moins, on ne change pas nos habitudes. Et ça me permet d’avoir un peu plus de discrétion. Enfin, on ne va pas visiter un stade : on y va, on se déplace et on joue. »
> Quelle équipe contre l’Ajax ?
Timothy Weah est le seul absent. Xeka a enfin rejoué une heure avec la réserve, tout comme Adama Soumaoro. Thiago Maia a disputé l’intégralité du match. Ces trois joueurs resteront aussi dans le Nord. Le reste du groupe est opérationnel. L’équipe qui débutera mardi va fortement ressembler à celle qui a battu Angers. Zeki Çelik va retrouver sa place au poste de latéral droit.
https://www.lavoixdunord.fr/637953/arti ... ur-visiter
À l’issue de la victoire contre Angers (2-1), vendredi soir, grâce à des buts signés Victor Osimhen et Luiz Araujo, le club nordiste s’est immédiatement mis en mode Ligue des champions. Les Lillois décollent pour Amsterdam ce lundi après-midi. Le compte à rebours est lancé.
Par Olivier Fosseux | Publié le 15/09/2019
José Fonte, Victor Osimhen et les Lillois décollent pour Amsterdam ce lundi après-midi. PHOTO BAZIZ CHIBANE - VDNPQR
> Le groupe a-t-il compris le débriefing musclé de vendredi soir ?
Christophe Galtier a reparlé avec ses joueurs de la fin de match contre Angers et de son débriefing à chaud. L’entraîneur du LOSC avait pointé du doigt la baisse de concentration qui avait relancé les Angevins.
Il a précisé sa réaction : « J’ai commencé par les féliciter car ce n’est jamais facile de gagner un match. On a fait un vrai bon match. C’est vrai qu’il pouvait ensuite y avoir un décalage dans mon ton, mais l’exigence du haut niveau demande de ne laisser aucune chance à l’adversaire. »
> Qu’a pensé Christophe Galtier de la victoire de l’Ajax samedi ?
« On avait déjà travaillé sur l’Ajax, mais je souhaitais voir un match en tribune pour avoir un ressenti en direct », explique l’entraîneur pour justifier son déplacement à Amsterdam, samedi. Au côté de Diego Perez, responsable de la cellule vidéo, il a assisté à la victoire des Ajacides contre Heerenveen (4-1). Et n’a pas été surpris.
« Ça représente ce que j’ai vu en images et je pense que ça ne sera pas la même équipe. Contre nous, l’Ajax va mettre plus d’intensité. Cette équipe a une capacité technique, une capacité à étouffer l’adversaire. On a aussi vu la double confrontation contre le PAOK. On a beaucoup d’éléments. »
> Pourquoi les Lillois ne s’entraînent pas sur la pelouse d’Amsterdam ce lundi ?
Les Nordistes ont récupéré samedi avant d’enchaîner avec des séances essentiellement tactiques. Ce lundi matin, ils seront à Luchin et ne s’envoleront vers Amsterdam qu’en milieu d’après-midi. « On sort d’une coupure et je n’ai pas eu mon effectif pendant douze jours. J’ai besoin de temps pour travailler sur le match, justifie Galtier. En plus, les séances d’entraînement Ligue des champions sur le terrain sont limitées en temps. On a une heure, c’est tout. Au moins, on ne change pas nos habitudes. Et ça me permet d’avoir un peu plus de discrétion. Enfin, on ne va pas visiter un stade : on y va, on se déplace et on joue. »
> Quelle équipe contre l’Ajax ?
Timothy Weah est le seul absent. Xeka a enfin rejoué une heure avec la réserve, tout comme Adama Soumaoro. Thiago Maia a disputé l’intégralité du match. Ces trois joueurs resteront aussi dans le Nord. Le reste du groupe est opérationnel. L’équipe qui débutera mardi va fortement ressembler à celle qui a battu Angers. Zeki Çelik va retrouver sa place au poste de latéral droit.
https://www.lavoixdunord.fr/637953/arti ... ur-visiter
LOSC : pour José Fonte, la Ligue des champions commence à 35 ans
José Fonte (35 ans) disputera le premier match de Ligue des champions de sa longue carrière ce mardi (21 h) à Amsterdam. Une singularité dans le parcours de l’international portugais, qui aborde l’événement avec tranquillité. Mais aussi de la bienveillance pour ses jeunes équipiers tout excités.
Par Richard Gotte | Publié le 16/09/2019
À 35 ans, José Fonte va découvrir la Ligue des champios. PHOTO PASCAL BONNIERE
Il ne s’est jamais caché derrière son petit doigt. La saison dernière, dès que la C1 a été en vue pour le LOSC, début 2019, José Fonte avait avant tout le monde commencé à le dire devant les micros : oui, bien sûr, évidemment que « nous la voulons la Ligue des champions ! » Nous n’étions qu’en janvier et le défenseur, fuyant les précautions d’usage, avait refusé l’eau tiède face aux performances de sa jeune et talentueuse équipe. « Je suis venu ici pour attraper la Ligue des champions », avait-il ainsi pu nous confier en avril, en dévoilant l’existence d’une prime à la qualification dans son contrat, preuve qu’il y croyait dès son arrivée.
C’est que la Ligue des champions tient une place à part dans son parcours. Et même très à part puisqu’à 35 ans, il ne l’a jamais disputée. En plus de quinze ans de carrière chez les pros, l’international portugais, qui totalise près de 550 matchs, n’en a joué que six en Ligue Europa, deux avec Vitoria Setubal (2005-2006) et quatre avec Southampton (2015-2016).
Un frisson mais pas d’émotion
C’est une singularité, due en partie à des choix de carrière en Premier League dans des clubs hors du « Big five ». Et c’est aussi ce qui explique qu’il aborde ce rendez-vous avec le LOSC comme une nouvelle conquête. L’envie de boucler la boucle.
Ce sera donc une première à Amsterdam et elle va compter. Mais si l’impatience du compétiteur le gagne, José Fonte sait aussi garder la tête froide. Et on a compris, après Angers, qu’il voulait séparer son aventure personnelle de son rôle de leader. « Oui, la Ligue des champions était déjà un peu dans les têtes et c’est normal, a-t-il ainsi indiqué. Mais on n’en a pas encore parlé. On va le faire maintenant. Il y a beaucoup d’excitation, notamment chez les jeunes, mais il faut rester tranquille. »
À quelques heures désormais de son entrée sur la piste aux étoiles, Fonte, tout en maîtrise, reconnaît un « frisson » mais pas vraiment d’émotion. « Vous savez, j’en ai joué des matchs importants dans ma carrière. J’ai même joué la finale du championnat d’Europe… », sourit-il.
Plutôt que l’impressionner, la C1 le stimule. « C’est la plus grande compétition en club, mais j’aborde ça avec beaucoup de tranquillité. Juste de la concentration. J’ai pas mal d’expérience et je sais qu’il faut prendre tous les matchs de la même manière », assure-t-il. Sans crainte, sans fatigue ni lassitude, heureux de « jouer plutôt que s’entraîner » lâche-t-il dans un clin d’œil. Avec la fraîcheur de ses 35 ans.
DIGEST
Né le 22 décembre 1983 à Penafiel (Portugal).
1,91 m, 83 kg.
Formé au Sporting Portugal.
40 sélections avec le Portugal.
Palmarès : vainqueur du championnat d’Europe (2016), vainqueur de la Ligue des nations (2019).
Parcours professionnel : 547 matchs, 25 buts
2005-2006 : Vitoria Setubal (17 m) puis Paços de Ferreira (10 m) ; 2006-2007 : Estrela (Por.), 27 m ; 2007-2010 : Crystal Palace (Ang.), 91 m ; 2010-2017 : Southampton (Ang.), 308 m ; 2017-2018 : West Ham (Ang.), 31 m ; 2018 : Dalian Yifang (Chi.), 7 m ; depuis 2018 : Lille (48 m).
https://www.lavoixdunord.fr/638157/arti ... xS1qrZus2k
José Fonte (35 ans) disputera le premier match de Ligue des champions de sa longue carrière ce mardi (21 h) à Amsterdam. Une singularité dans le parcours de l’international portugais, qui aborde l’événement avec tranquillité. Mais aussi de la bienveillance pour ses jeunes équipiers tout excités.
Par Richard Gotte | Publié le 16/09/2019
À 35 ans, José Fonte va découvrir la Ligue des champios. PHOTO PASCAL BONNIERE
Il ne s’est jamais caché derrière son petit doigt. La saison dernière, dès que la C1 a été en vue pour le LOSC, début 2019, José Fonte avait avant tout le monde commencé à le dire devant les micros : oui, bien sûr, évidemment que « nous la voulons la Ligue des champions ! » Nous n’étions qu’en janvier et le défenseur, fuyant les précautions d’usage, avait refusé l’eau tiède face aux performances de sa jeune et talentueuse équipe. « Je suis venu ici pour attraper la Ligue des champions », avait-il ainsi pu nous confier en avril, en dévoilant l’existence d’une prime à la qualification dans son contrat, preuve qu’il y croyait dès son arrivée.
C’est que la Ligue des champions tient une place à part dans son parcours. Et même très à part puisqu’à 35 ans, il ne l’a jamais disputée. En plus de quinze ans de carrière chez les pros, l’international portugais, qui totalise près de 550 matchs, n’en a joué que six en Ligue Europa, deux avec Vitoria Setubal (2005-2006) et quatre avec Southampton (2015-2016).
Un frisson mais pas d’émotion
C’est une singularité, due en partie à des choix de carrière en Premier League dans des clubs hors du « Big five ». Et c’est aussi ce qui explique qu’il aborde ce rendez-vous avec le LOSC comme une nouvelle conquête. L’envie de boucler la boucle.
Ce sera donc une première à Amsterdam et elle va compter. Mais si l’impatience du compétiteur le gagne, José Fonte sait aussi garder la tête froide. Et on a compris, après Angers, qu’il voulait séparer son aventure personnelle de son rôle de leader. « Oui, la Ligue des champions était déjà un peu dans les têtes et c’est normal, a-t-il ainsi indiqué. Mais on n’en a pas encore parlé. On va le faire maintenant. Il y a beaucoup d’excitation, notamment chez les jeunes, mais il faut rester tranquille. »
À quelques heures désormais de son entrée sur la piste aux étoiles, Fonte, tout en maîtrise, reconnaît un « frisson » mais pas vraiment d’émotion. « Vous savez, j’en ai joué des matchs importants dans ma carrière. J’ai même joué la finale du championnat d’Europe… », sourit-il.
Plutôt que l’impressionner, la C1 le stimule. « C’est la plus grande compétition en club, mais j’aborde ça avec beaucoup de tranquillité. Juste de la concentration. J’ai pas mal d’expérience et je sais qu’il faut prendre tous les matchs de la même manière », assure-t-il. Sans crainte, sans fatigue ni lassitude, heureux de « jouer plutôt que s’entraîner » lâche-t-il dans un clin d’œil. Avec la fraîcheur de ses 35 ans.
DIGEST
Né le 22 décembre 1983 à Penafiel (Portugal).
1,91 m, 83 kg.
Formé au Sporting Portugal.
40 sélections avec le Portugal.
Palmarès : vainqueur du championnat d’Europe (2016), vainqueur de la Ligue des nations (2019).
Parcours professionnel : 547 matchs, 25 buts
2005-2006 : Vitoria Setubal (17 m) puis Paços de Ferreira (10 m) ; 2006-2007 : Estrela (Por.), 27 m ; 2007-2010 : Crystal Palace (Ang.), 91 m ; 2010-2017 : Southampton (Ang.), 308 m ; 2017-2018 : West Ham (Ang.), 31 m ; 2018 : Dalian Yifang (Chi.), 7 m ; depuis 2018 : Lille (48 m).
https://www.lavoixdunord.fr/638157/arti ... xS1qrZus2k
