dodger a écrit :Source of the post T'en n'a pas un où t'apprends à nager ?
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
"En tout cas si un jour on manque de viande bovine, je boufferai de l'écolo, ça doit être sain comme bidoche à toujours manger bio."
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
james a écrit :Source of the post les migrantq auront du mal à prendre trente kilos pour résister au froid de la mer
Si en plus ces assistés n'y mettent pas un peu de bonne volonté !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
dodger a écrit :Source of the postjames a écrit :Source of the post les migrantq auront du mal à prendre trente kilos pour résister au froid de la mer
Si en plus ces assistés n'y mettent pas un peu de bonne volonté !
Faut juste enlever le mot "assistés"... Parce qu'ici, dans le Calaisis, les assistés sont ceux qui vivent principalement dans les cités HLM et refusent tout boulot pour ensuite cracher sur les migrants où se réjouir publiquement quand un migrant meurt en essayant, justement de quitter ce beau pays qui est le nôtre...
Sinon j'ai bien compris l'ironie.
C'est fou comme les gens qui se croient instruits éprouvent le besoin de faire chier le monde.
Boris Vian
Boris Vian
De là à dire que la politique migratoire française n'incite pas à ces réfugiés de viser la France, mais d'aller plus loin... Et que finalement, que les anglais nous contraignent à maintenir ceux-ci de ce côté-ci du Channel, ce n'est peut-être finalement qu'un retour de manivelle...
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Dageek a écrit :Source of the post Quelqu un aurait-il la version complète de cet article svp ?
https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
12|ÉCONOMIE & ENTREPRISEMERCREDI 26 AOÛT 20200123Alinéa, le plan de la dernière chanceL’enseigne d’ameublement, en redressement judiciaire, devrait être reprise par ses exactionnaires, les Mulliez Le tribunal de commercede Marseille doit examiner, lundi 31 août, les offres de reprise de l’enseigne française de meubles et d’objets de décoration Alinéa, placée en redressement judiciaire le13 mai. « Maisil n’y a pas trop de suspense », lance Eddy Chhlang,délégué syndical CGT chez Alinéa.Car si les repreneurs avaient jusqu’au 30 juin pour déposer une offre, un seul d’entre eux propose de conserver l’enseigne et de pérenniser un maximum d’emplois. Les cinq autres (Intersport,LeroyMerlin, Gifi, Foir’fouille et Fresh, l’enseigne du groupeGrand Frais) ne souhaitant récupérer que certains magasins pourcompléter leur réseau.Cette offre, soutenue par les administrateurs judiciaires d’après les syndicats, émane... des actionnaires actuels : Alexis Mulliez, le PDG qui détient 15 % du capital, et l’Association familiale Mulliez (AFM), qui possède les 85 % restant. Cette organisation, très secrète, permet à l’ensemble de la famille Mulliez de détenir, par le biais d’un enchevêtrement deholdings, une multitude de sociétés dans la distribution (Auchan, Decathlon, LeroyMerlin...). Ceduo d’actionnaires avait rachetéAlinéa en 2017 à... Auchan.Déplacement du centre de gravitéAutant dire que certains y ont vu un nouveau tour de passepasse, destiné à imputer la responsabilité d’une profonde cure d’amaigrissement de l’enseigne à unedécision du tribunal. L’entresoi au sein des sociétés de la galaxie Mulliez avait déjà permis à Alinéade se libérer de sa gestion immobilière en 2017, la privantaujourd’hui de cette marge demanœuvre financière. Elle avait cédé les murs de 13 magasins à Nodi, une entité immobilière de la famille Mulliez fusionnéeen 2020 avec une autre, Ceetrus(exImmochan). En contrepartie, Alinéa devait chaque année luiverser un loyer de près de 9 millions d’euros, selon un rapport d’expertise comptable.Aujourd’hui, la contraction de périmètre sera plus sévère. L’offre de reprise déposée initialement auprès du tribunal prévoyait le maintien de 7 magasins sur les 26que le groupe possède en France(hors franchisés). Elle a été améliorée dans le courant de l’été, portant à 9 le nombre de magasins repris ayant des perspectives de rentabilité. A l’exception de Herblay (Vald’Oise), ils sont essentiellement situés dans la moitié sud de la France : Aubagne, Merignac, Avignon, Grenoble, Blagnac,Montpellier, auxquels se sont ajoutés Nancy et Limoges.Le magasin de Villars (Loire) etses 75 salariés ne faisant pas partie du projet de reprise, le maire de SaintEtienne, Gaël Perdriau (LR), a écrit mi août au gouvernement pour dénoncer l’offre de rachat. Ilstireraient profit, selon lui, d’un décret du 20 mai permettant aux propriétaires d’une société de la reprendre après un dépôt de bilan.D’après cet élu,« le risque est que les actionnaires d’une entreprise soient tentés, en cas de difficultés déjà anciennes, de déposer le bilan.Puis, de profiter de ce nouveau décret pour racheter leur boîte ». « Cette possibilité existait déjà avant. Elle était juste plus lourde car il fallait une autorisation préalable du Tribunal de commerce », se défend la direction d’Alinéa.La CGT s’interroge sur le caractère prémédité du déplacement du centre de gravité du groupe dans le sud de la France au vu notamment du « changement desiège social de Roubaix (Nord) versAubagne (BouchesduRhône)qui a été réalisé le 1er septembre 2019 ».Le projet des actionnaires conserverait moins de la moitié de la masse salariale, soit près de 900 postes sur 1 974. Environ 1 000 emplois seraient donc supprimés. Sans compter ceux d’un des deux entrepôts actuels, sis àNanteuilleHaudouin (Oise). Ilserait abandonné après février 2021 au profit d’un agrandissement de celui de SaintMartindeCrau (BouchesduRhône). Il générerait, d’après la direction,plus de 100 emplois indirects.Les dirigeants d’Alinéa assurent que « pour les magasins qui ne seront pas repris, plusieurs centaines d’offres d’emploi dans leur bassin géographique seront proposées dans les sociétés de l’AFM ou dans d’autres entreprises ». Une première dans la galaxie Mulliez, oùles passerelles pour l’emploi entreles différentes sociétés de l’AFM, réclamées de longue date par les syndicats d’Auchan, n’ont jamais existé. « On s’est battu pour l’obtenir car au départ, on nous disait qu’il était hors de question de reclasser les gens dans les entités del’AFM parce que nous étions dans la société Alinéa SAS. On a bataillé pour montrer que juridiquement, on faisait toujours partie du groupe Auchan », raconte M. Chhlang. En définitive, 650 offres de postes dans le groupe Auchan ont été promises aux syndicats − beaucoup pour des directeurs opérationnels ou de magasin − sous forme de reclassement interne.Concurrence accrue de l’Internet« Pour les offres d’emploi en reclassement externe chez Decathlon, Norauto, LeroyMerlin..., c’est en cours. Mais on attend toujours lamise en place de la plateforme informatique qui nous a été promisepour que les salariés puissent seprojeter », indique le syndicaliste.En repositionnant Alinéa dans le sud de la France, le projet stratégique des actionnaires serait ainsid’« opérer la bascule d’une enseigne de grande distribution vers la construction durable d’une marque lifestyle », non concurrente dugéant Ikea, indique la direction del’entreprise.Elle abandonnerait aussi ses bureaux d’Aubagne pour installer son siège dans le magasin de laville. Et arrêterait d’ouvrir des emplacements géants. Les magasins du réseau font actuellement enmoyenne 6 000 m² chacun et jusqu’à 10 000 m² pour certains.Alexis Mulliez veut développer denouveaux concepts, plus petits autour de 900 m², en centreville,et commencerait par le cœur de Lyon si le tribunal entérinait sonoffre de reprise. Il accélérerait le développement des ventes sur Internet, afin de passer de 20 % duchiffre d’affaires réalisé sur le Weben 2019 à 37 % en 2023.Face à une concurrence accruede l’Internet, l’entreprise n’a pas échappé aux difficultés du secteur de l’ameublement de La filiale française de Facebook va verser 106 millions d’euros au fiscL’accord trouvé entre le réseau social américain et le gouvernement français doit mettre fin à un contentieux qui couvre la période 20092018Facebook a annoncé, lundi24 août, avoir conclu un accord fiscal avec le gouvernement français sur un redressement de 106 millions d’euros d’impôt sur les sociétés, confirmant une information divulguée quelques heures plus tôt par le site Capital.fr. Un compromis qui doit permettre d’enterrer un contentieux entre le réseau socialaméricain et l’administration fiscale sur la période 20092018.C’est l’épilogue d’un feuilletonengagé en 2012, quand le fiscfrançais s’est attaqué à plusieursgéants du numérique installéssur le territoire. Sont alors ciblésAmazon, Google et Microsoft,mais aussi Facebook, dont leslocaux parisiens sont perquisitionnés à l’été.En cause, les pratiques de cessociétés qui déclarent leurs revenus (issus de la publicité ou de lavente en ligne) dégagés en France dans d’autres pays moins exigeants sur le plan fiscal, tels quel’Irlande ou le Luxembourg.Combat de longue haleineA l’époque déjà, la France s’émeut de l’évasion fiscale à laquelle selivrent ces grands acteurs du numérique. Sous la présidence deFrançois Hollande, la porteparole du gouvernement Ayrault, Najat VallaudBelkacem, déplore ainsi, en novembre 2012, que « les activités [de ces entreprises] entrent difficilement dans les notionshabituelles d’impôts sur les sociétés que nous connaissons ici (...) et qui impliquent de déterminer le territoire sur lequel la valeur ajoutée est produite ».Dans ce combat de longue haleine, le fisc français n’obtientgain de cause qu’au bout de plusieurs années. En février 2018, Amazon trouve un accord avec l’administration pour 200 millions d’euros, avant que, début 2019, Apple consente à régler 500 millions d’euros pour solderdix ans d’arriérés d’impôt.En septembre de la même année, Google accepte de verser prèsde 1 milliard d’euros pour solder l’ensemble de ses contentieux avec le fisc français, somme qui serépartit à parts presque égales entre le rattrapage fiscal exigé et l’amende infligée au moteur de recherche. S’agissant de Facebook, sur le montant total à régler, 22 millions sont attribuables aux pénalités, selon des documents consultés par Capital.Depuis des années, la sociétéessaie de convaincre qu’elle s’adapte aux réglementations nationales dans les pays où elle opère. En 2020, Laurent Solly, le patron de la filiale française, insistait sur BFMTV qu’« en 2017, [Facebook avait] décidé de changer [son]système de déclaration de revenus. Désormais, tous les revenus de la filiale produits par les équipes qui sont installées ici, à Paris, sont déclarés en France. » « Nous comprenons qu’il y ait de la frustration sur la manière dont les entreprises de la tech sont imposées en Europe », a luimême déclaré le PDG Mark Zuckerberg, en février.Facebook France aurait payé8,46 millions d’euros d’impôt sur les sociétés pour l’année 2019,soit une hausse « de près de 50 % par rapport à l’année précédente ».Une somme qui reste cependant très réduite : d’après l’estimationétablie par Capital, ce ne sont pas moins de 150 millions d’eurosd’impôts sur les bénéfices que la société californienne aurait dû acquitter. Cela reste dans tous les cas une goutte d’eau pour une entreprise qui a réalisé 70 milliards de dollars (59,3 milliards d’euros) de chiffres d’affaires en 2019.Sous le quinquennat d’Emmanuel Macron, la lutte contre les pratiques fiscales des géants américains du numérique – qu’il avait qualifiés, dès 2017, de « passagers clandestins du monde contemporain » en matière de fiscalité – a été une promesse récurrente.En 2019, le Parlement français aadopté une mesure proposant de taxer les mastodontes du Web à hauteur de 3 % de leur chiffre d’affaires. Depuis, son application atoutefois été suspendue, dans l’attente du dénouement de discussions élargies au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques.vincent fagotDans le magasin Alinéa de RosnysousBois (SeineSaintDenis),le 6 août.ERIC TSCHAEN/READ’après le projetde rachat, moinsde la moitié de la masse salarialeserait conservée.Soit près de 1 000postes supprimésmoyenne gamme qu’ont connues Fly et Conforama. Elle perd de l’argent depuis 2012 (300 millions d’euros entre 2012 et 2019), selon la CGT. Un déséquilibre que l’AFM n’a cessé d’éponger régulièrement : « Ces trois dernières années, les actionnaires ont refinancé Alinéa à hauteur de plus de 130 millions d’euros », indique la direction de l’entreprise. 305 millions d’euros de trésorerie ont été injectés sur 10 ans par les actionnaires, souligne un rapport commandé par les syndicats.Malgré une nouvelle stratégiedepuis 2017, le mouvement des« gilets jaunes » puis les grèves et le blocage du port de Marseille, qui achemine 50 % de ses marchandises, ont achevé de fragiliser le distributeur, qui a plongéavec l’épidémie de Covid19 et lafermeture de ses magasins. Le6 mai, Alinéa s’est déclarée en cessation de paiement. En 2019, l’enseigne, toujours discrète sur seschiffres, avait réalisé 257 millionsd’euros de chiffre d’affaires pour 62 millions d’euros de pertes, indique le jugement du tribunal.cécile prudhomm
T'as celui là sinon Dageek:
https://www.liberation.fr/france/2020/08/07/faillite-d-alinea-la-famille-mulliez-en-profite-pour-sauver-ses-meubles_1796331
https://www.liberation.fr/france/2020/08/07/faillite-d-alinea-la-famille-mulliez-en-profite-pour-sauver-ses-meubles_1796331
J'ai l'impression que le deuxième mandat de not'bon président Macron va en énerver quelques-uns. dodger » sam. 29 déc. 2018 23:41
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
Merci
Une belle bande dé charognards et d opportunistes. Le Covid a vraiment bon dos. On en parle pas encore beaucoup vu que le côté sanitaire monopolise l’actualité , mais la casse sociale c’est bien eux qui vont la faire en profitant de l opportunité laissées par les ordonnances Macron
Une belle bande dé charognards et d opportunistes. Le Covid a vraiment bon dos. On en parle pas encore beaucoup vu que le côté sanitaire monopolise l’actualité , mais la casse sociale c’est bien eux qui vont la faire en profitant de l opportunité laissées par les ordonnances Macron
Terrible ... (vidéo inside)
Le mec semble tellement calme en regagnant sa voiture ! Incroyable !
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_etats-unis-pourquoi-la-police-a-t-elle-tire-sept-fois-dans-le-dos-d-un-homme-noir-devant-ses-enfants-a-kenosha?id=10568651
Le mec semble tellement calme en regagnant sa voiture ! Incroyable !
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_etats-unis-pourquoi-la-police-a-t-elle-tire-sept-fois-dans-le-dos-d-un-homme-noir-devant-ses-enfants-a-kenosha?id=10568651
Augustin ça me rappelle la fausse agression dans le rer D
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte
Lucky a écrit :Source of the post http://ow.ly/yotM30r7lVd
En tout cas c'est pas neuer qui leur a refilé le covid, il a respecté les distances avec eux.
Pas la 1ère fois que je parle de ce sujet mais putain, dans quel monde vit on?
Je vois déjà les Père là morale de PL se mettre ne route.. m’en tape moi je trouve ça scandaleux pour ces retraités..
https://fr.yahoo.com/news/var-en-se-ren ... 18224.html
Je vois déjà les Père là morale de PL se mettre ne route.. m’en tape moi je trouve ça scandaleux pour ces retraités..
https://fr.yahoo.com/news/var-en-se-ren ... 18224.html
"En tout cas si un jour on manque de viande bovine, je boufferai de l'écolo, ça doit être sain comme bidoche à toujours manger bio."
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
Dodger jeudi 3 août 2017 21h48
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Bab, clos, Djeunzzz, Dogue-Son, MrK, Rastabigoud, raymondbarh, Samos, Xylophène, zaz et 66 invités