Jonsi a écrit :Source of the post Radiohead.
Arras ou Werchter ?
americain-merguez a écrit :Source of the postLeelh osc a écrit :Source of the post Alors DM au GS ?!
Chaud bouillant, grosse ambiance, show au top, mais là je ne suis guère objectif. Comparé à Amsterdam et Anvers, largement au-dessus. Le public nordiste n'a pas failli à sa réputation en matière de concert. Prochaine étape, samedi à Londres.
Une petite photo du (demi) stade :
Chanceux !
Djeunzzz a écrit :Source of the post
Prodiges est la première émission à révéler des jeunes talents du classique dans trois disciplines : la danse, la musique et le chant. Diffusé sur France 2, ce concours unique a su redonner ses lettres de noblesse à l’univers classique et séduire le grand public français, avec près de 4 millions de téléspectateurs en moyenne sur les deux premières éditions.
Le 2 juin 2017, le Stade Pierre-Mauroy accueillera un concert événement avec les Prodiges des 3 premières saisons, présenté par Marianne James et retransmis en direct sur France 2. En partenariat avec les Ministères de l’Éducation Nationale et de la Culture, ce grand concert marquera également une première en France : au total, près de 10 000 élèves des Hauts-de-France, du CE1 à la Terminale, investiront les gradins du Stade Pierre-Mauroy pour former le plus grand chœur jamais réalisé au monde.
Les grands airs du classique tels que Les quatre saisons de Vivaldi, Nabucco de Verdi, Le lac des cygnes de Tchaïkovski ou encore La 9ème symphonie de Beethoven, résonneront dans l’enceinte du Stade, portés par les 10 000 choristes, les plus grands noms du classique, L’Orchestre National de Lille, le Chœur régional des Hauts-de-France et le Ballet du Palais d’Hiver de St Pétersbourg.
Un concert à ne pas manquer pour découvrir ou redécouvrir la musique classique ! L’ouverture de la billetterie aura lieu en novembre 2016.
L'ONL a publié des photos des répétitions, je crois que ça va être assez impressionnant !
#JeSuisVasseur
la présentatrice qui a mentionné plusieurs fois LOSC lors de son intervention
Bon moi contrairement à luc le suis plutot footeux et j'ai attendu le 2/0 pour zapper, et là j'ai été scotché....
les deux pages de la vdn du jour.
REGION
03/06/2017
Prodiges : des ados surdoués pour un spectacle hors norme
PAR CARINE BAUSIèREvilleneuvedascq@lavoixdunord.fr
Les Prodiges ont enflammé le stade Pierre-Mauroy, sous l’accompagnement bienveillant d’une Marianne James impeccable. Photos Pib
Ils sont jeunes mais ont tous un talent incroyable en chant, danse ou musique. Ces Prodiges étaient sur scène hier soir au stade Pierre-Mauroy, devant 40 000 personnes et les caméras de France 2. Accompagnés de la plus grande chorale du monde, ils ont fait de cette soirée une réussite, tout sauf classique !
>
VILLENeUVE-D’ASCQ.
Il est un peu plus de 21 h, le spectacle a commencé depuis quelques minutes déjà mais il se prolonge en coulisses. Melvin, qui vient de danser sur l’ouverture de Guillaume Tell de Rossini, accompagné du ballet de Saint-Pétersbourg, entre en trombe dans la loge collective et souffle un grand coup. Il a enchaîné des tours à la seconde en solo, puis des pirouettes, avec une facilité déconcertante. « Je redoutais ce moment, confie-t-il pourtant en attrapant un gobelet pour se réhydrater après ce coup de chaud. J’avais vraiment peur de ne pas tenir l’équilibre. »
Après quelques gorgées, le jeune danseur se jette sur son téléphone portable. À côté de lui, Hakob, le chanteur lillois, lâche le sien pour rejoindre la scène. L’Air du Toréador, de Bizet, l’attend avec les 10 500 choristes. Encore un sans-faute. Pourtant, de retour dans les entrailles du stade, le doute n’est jamais loin. « C’était bien ? », demande-t-il timidement aux autres Prodiges. « Super ! » « Je n’ai pas trop fait de comédie ? » « Non, super ! »
Pour en avoir le cœur net, Hakob s’isole avec son portable et visionne sa prestation. Pendant ce temps, ceux qui restent avant tout des ados malgré le sérieux de rigueur dans ce genre d’événement, font les comptes sur les réseaux sociaux. « J’ai quatre demandes en ami depuis mon passage », récapitule Melvin. « C’est bon, t’as percé », lui assure la chanteuse Mareva.
Trêve de plaisanterie, il y a une émission à boucler les enfants. Éric, 11 ans, petit rossignol, s’en va alors passer tranquillement ses « Funiculi Funicula », Hannaë fait souffler un vent de grâce dans les tribunes avec le ballet sur Le Lac des cygnes et le final du Carnaval des animaux se déroule au piano sous les doigts de Constant et Angelina, même pas 12 ans tous les deux.
Les Prodiges ont tenu leur rang. La plus grande chorale du monde, épaulée par l’ONL et le Chœur régional des Hauts-de-France, aussi, faisant de La Marseillaise version Berlioz l’un des plus beaux moments de cette soirée devant un public debout.
les deux pages de la vdn du jour.
REGION
03/06/2017
Prodiges : des ados surdoués pour un spectacle hors norme
PAR CARINE BAUSIèREvilleneuvedascq@lavoixdunord.fr
Les Prodiges ont enflammé le stade Pierre-Mauroy, sous l’accompagnement bienveillant d’une Marianne James impeccable. Photos Pib
Ils sont jeunes mais ont tous un talent incroyable en chant, danse ou musique. Ces Prodiges étaient sur scène hier soir au stade Pierre-Mauroy, devant 40 000 personnes et les caméras de France 2. Accompagnés de la plus grande chorale du monde, ils ont fait de cette soirée une réussite, tout sauf classique !
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VILLENeUVE-D’ASCQ.
Il est un peu plus de 21 h, le spectacle a commencé depuis quelques minutes déjà mais il se prolonge en coulisses. Melvin, qui vient de danser sur l’ouverture de Guillaume Tell de Rossini, accompagné du ballet de Saint-Pétersbourg, entre en trombe dans la loge collective et souffle un grand coup. Il a enchaîné des tours à la seconde en solo, puis des pirouettes, avec une facilité déconcertante. « Je redoutais ce moment, confie-t-il pourtant en attrapant un gobelet pour se réhydrater après ce coup de chaud. J’avais vraiment peur de ne pas tenir l’équilibre. »
Après quelques gorgées, le jeune danseur se jette sur son téléphone portable. À côté de lui, Hakob, le chanteur lillois, lâche le sien pour rejoindre la scène. L’Air du Toréador, de Bizet, l’attend avec les 10 500 choristes. Encore un sans-faute. Pourtant, de retour dans les entrailles du stade, le doute n’est jamais loin. « C’était bien ? », demande-t-il timidement aux autres Prodiges. « Super ! » « Je n’ai pas trop fait de comédie ? » « Non, super ! »
Pour en avoir le cœur net, Hakob s’isole avec son portable et visionne sa prestation. Pendant ce temps, ceux qui restent avant tout des ados malgré le sérieux de rigueur dans ce genre d’événement, font les comptes sur les réseaux sociaux. « J’ai quatre demandes en ami depuis mon passage », récapitule Melvin. « C’est bon, t’as percé », lui assure la chanteuse Mareva.
Trêve de plaisanterie, il y a une émission à boucler les enfants. Éric, 11 ans, petit rossignol, s’en va alors passer tranquillement ses « Funiculi Funicula », Hannaë fait souffler un vent de grâce dans les tribunes avec le ballet sur Le Lac des cygnes et le final du Carnaval des animaux se déroule au piano sous les doigts de Constant et Angelina, même pas 12 ans tous les deux.
Les Prodiges ont tenu leur rang. La plus grande chorale du monde, épaulée par l’ONL et le Chœur régional des Hauts-de-France, aussi, faisant de La Marseillaise version Berlioz l’un des plus beaux moments de cette soirée devant un public debout.
Modifié en dernier par james le sam. 3 juin 2017 09:23, modifié 1 fois.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
REGION
03/06/2017
« Pas si vite » sur l’Ave Verum de Mozart !
C. B.
Pour les choristes, des consignes à intégrer. Pour la chef d’orchestre, peu de temps pour faire d’un joyeux troupeau un bel ensemble.
<
>
Avant le spectacle classique programmé hier soir au stade Pierre-Mauroy, c’est un autre ballet, de bus cette fois, qui a commencé le matin pour acheminer les 10 500 choristes venus des collèges et lycées de la région.
Certains, comme Romane, Justine et Charlotte, du collège Sainte-Ide et du lycée Saint-Paul de Lens, avaient déjà fait partie de « l’échantillon » de 900 jeunes sélectionnés jeudi pour une première répétition. Bilan ? Leurs mines déconfites ont parlé pour elles. « C’était un peu dur. C’est la première fois que nous chantions avec l’Orchestre national de Lille et par moments, les morceaux allaient plus vite, d’autres étaient plus lents que ce que l’on avait travaillé. »
Pas franchement rassurées, elles attendaient beaucoup de cet ultime calage programmé à quelques heures seulement du direct.
Calés cinq sur cinq
Face à eux, ces choristes d’un soir ont découvert une petite voix chaleureuse mais ferme pour indiquer la marche à suivre. Un, on ne quitte pas des yeux son chef de chœur adjoint posté en bas de sa tribune. Deux, on ne bricole pas avec les petits panneaux à leds installés sur chaque siège. Trois, pas de chewing-gum. Quatre, pas de bijoux. Cinq, quand l’émission commencera, plus personne ne pourra quitter sa place. Organisez-vous pour la pause pipi.
Ces recommandations faites, Zahia Ziouani, chef d’orchestre principale, a pu lever sa baguette. Son objectif : en une heure et demie, faire de ce qui ressemble à un joyeux troupeau un ensemble vocal de haute qualité. Le premier essai pour faire asseoir tout ce monde d’un geste de la main a fini en franche rigolade. Mais rapidement, sa voix posée et enjouée fait des miracles. « Dans un concert, nous sommes tous artistes, a-t-elle expliqué. Je serai aussi gentille et exigeante avec tout le monde ! »
Premier exemple ? Sur La Marseillaise, version Berlioz. Le résultat est globalement réussi mais… « Il faut davantage ar-ti-cu-ler à certains endroits », pointe la chef d’orchestre. On recommence. « Ah, c’était beaucoup, beaucoup, beaucoup mieux ! » Sur Carmina Burana, « donnez-moi un peu plus de relief… » Et « pas si vite » pour l’Ave Verum de Mozart ! À 18 h, le filage s’est achevé sur une agréable surprise. Les choristes sont prêts, le spectacle peut commencer.
03/06/2017
« Pas si vite » sur l’Ave Verum de Mozart !
C. B.
Pour les choristes, des consignes à intégrer. Pour la chef d’orchestre, peu de temps pour faire d’un joyeux troupeau un bel ensemble.
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Avant le spectacle classique programmé hier soir au stade Pierre-Mauroy, c’est un autre ballet, de bus cette fois, qui a commencé le matin pour acheminer les 10 500 choristes venus des collèges et lycées de la région.
Certains, comme Romane, Justine et Charlotte, du collège Sainte-Ide et du lycée Saint-Paul de Lens, avaient déjà fait partie de « l’échantillon » de 900 jeunes sélectionnés jeudi pour une première répétition. Bilan ? Leurs mines déconfites ont parlé pour elles. « C’était un peu dur. C’est la première fois que nous chantions avec l’Orchestre national de Lille et par moments, les morceaux allaient plus vite, d’autres étaient plus lents que ce que l’on avait travaillé. »
Pas franchement rassurées, elles attendaient beaucoup de cet ultime calage programmé à quelques heures seulement du direct.
Calés cinq sur cinq
Face à eux, ces choristes d’un soir ont découvert une petite voix chaleureuse mais ferme pour indiquer la marche à suivre. Un, on ne quitte pas des yeux son chef de chœur adjoint posté en bas de sa tribune. Deux, on ne bricole pas avec les petits panneaux à leds installés sur chaque siège. Trois, pas de chewing-gum. Quatre, pas de bijoux. Cinq, quand l’émission commencera, plus personne ne pourra quitter sa place. Organisez-vous pour la pause pipi.
Ces recommandations faites, Zahia Ziouani, chef d’orchestre principale, a pu lever sa baguette. Son objectif : en une heure et demie, faire de ce qui ressemble à un joyeux troupeau un ensemble vocal de haute qualité. Le premier essai pour faire asseoir tout ce monde d’un geste de la main a fini en franche rigolade. Mais rapidement, sa voix posée et enjouée fait des miracles. « Dans un concert, nous sommes tous artistes, a-t-elle expliqué. Je serai aussi gentille et exigeante avec tout le monde ! »
Premier exemple ? Sur La Marseillaise, version Berlioz. Le résultat est globalement réussi mais… « Il faut davantage ar-ti-cu-ler à certains endroits », pointe la chef d’orchestre. On recommence. « Ah, c’était beaucoup, beaucoup, beaucoup mieux ! » Sur Carmina Burana, « donnez-moi un peu plus de relief… » Et « pas si vite » pour l’Ave Verum de Mozart ! À 18 h, le filage s’est achevé sur une agréable surprise. Les choristes sont prêts, le spectacle peut commencer.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
REGION
03/06/2017
échos
Tubes cathodiques
Comment éviter les retours et décalages de son entre l’orchestre et la trentaine de chefs de chœur répartis dans les tribunes ? Sur ce coup-là, les nouvelles technologies n’ont rien pu faire. La garantie de partir tous ensemble, d’une même voix, à l’instant zéro, n’a pu être assurée que grâce… à de bons vieux écrans à tubes cathodiques. Des dinosaures insensibles aux décalages, mais qu’il a fallu aller dénicher en Europe de l’Est pour être sûr de pouvoir en ramener en quantité. Chaque chef de chœur était installé devant l’un de ces postes avec, sur l’écran, les mouvements de la chef d’orchestre… en direct !
Embouteillages
Les 10 500 choristes ont été acheminés par 230 bus jusqu’au stade. Après le concert, les ados ont été priés de rester sagement sur leurs sièges en attendant d’être appelés pour remonter dans les cars. « Vous ne bougez pas tant qu’on ne vous fait pas signe », les a-t-on prévenus. Il a fallu trois heures pour les réunir dans la tribune Sud de la fin de matinée jusqu’au début d’après-midi. Il fallait donc compter sur le même laps de temps pour leur permettre de quitter l’enceinte et se frayer un passage dans les embouteillages. Selon le planning, les derniers bus sont partis vers 2 h du matin.
Privilégiés
Les collégiens de Molière, à Villeneuve-d’Ascq, sont certainement les plus rapides à avoir regagné leur lit : voisins du stade, ils ont échappé aux bus. L’aller s’est fait en métro, le retour aussi. Pratique !
Plein
Les organisateurs tablaient sur 45 000 spectateurs. Finalement, le stade a accueilli 40 000 personnes venues écouter les Prodiges, accompagnés de l’Orchestre national de Lille et du Chœur régional des Hauts-de-France. Une belle assistance pour un spectacle de musique classique, retransmis en direct et rendu possible grâce à l’expertise de l’ONL et des différents partenaires comme la MEL, le conseil régional et le Crédit mutuel.
Logistique
Recevoir 10 500 choristes, ça se prépare. Les enfants ont été ravitaillés après la répétition grâce aux 11 000 sandwichs commandés à leur intention. Quelque 15 000 bouteilles d’eau étaient également prévues. Mais attention, pas question d’en glisser une dans son sac et de se rincer le gosier en direct pendant le spectacle. Des réserves d’eau ont toutefois été disséminées discrètement sur le côté des tribunes.
À suivre ?
Nicolas Copperman, président d’EndemolShine France, qui produisait ce programme, était présent hier soir au stade. Il s’est avoué bluffé par la configuration de cette salle de spectacle si particulière. De quoi lui donner des idées pour la suite ? « Si nous revenons, ce ne sera que pour un autre événement de très grande ampleur, précise-t-il. Nous nous étions renseignés il y a quelques années pour l’élection de miss France mais comme c’est en décembre, le problème de température s’est posé ! »
03/06/2017
échos
Tubes cathodiques
Comment éviter les retours et décalages de son entre l’orchestre et la trentaine de chefs de chœur répartis dans les tribunes ? Sur ce coup-là, les nouvelles technologies n’ont rien pu faire. La garantie de partir tous ensemble, d’une même voix, à l’instant zéro, n’a pu être assurée que grâce… à de bons vieux écrans à tubes cathodiques. Des dinosaures insensibles aux décalages, mais qu’il a fallu aller dénicher en Europe de l’Est pour être sûr de pouvoir en ramener en quantité. Chaque chef de chœur était installé devant l’un de ces postes avec, sur l’écran, les mouvements de la chef d’orchestre… en direct !
Embouteillages
Les 10 500 choristes ont été acheminés par 230 bus jusqu’au stade. Après le concert, les ados ont été priés de rester sagement sur leurs sièges en attendant d’être appelés pour remonter dans les cars. « Vous ne bougez pas tant qu’on ne vous fait pas signe », les a-t-on prévenus. Il a fallu trois heures pour les réunir dans la tribune Sud de la fin de matinée jusqu’au début d’après-midi. Il fallait donc compter sur le même laps de temps pour leur permettre de quitter l’enceinte et se frayer un passage dans les embouteillages. Selon le planning, les derniers bus sont partis vers 2 h du matin.
Privilégiés
Les collégiens de Molière, à Villeneuve-d’Ascq, sont certainement les plus rapides à avoir regagné leur lit : voisins du stade, ils ont échappé aux bus. L’aller s’est fait en métro, le retour aussi. Pratique !
Plein
Les organisateurs tablaient sur 45 000 spectateurs. Finalement, le stade a accueilli 40 000 personnes venues écouter les Prodiges, accompagnés de l’Orchestre national de Lille et du Chœur régional des Hauts-de-France. Une belle assistance pour un spectacle de musique classique, retransmis en direct et rendu possible grâce à l’expertise de l’ONL et des différents partenaires comme la MEL, le conseil régional et le Crédit mutuel.
Logistique
Recevoir 10 500 choristes, ça se prépare. Les enfants ont été ravitaillés après la répétition grâce aux 11 000 sandwichs commandés à leur intention. Quelque 15 000 bouteilles d’eau étaient également prévues. Mais attention, pas question d’en glisser une dans son sac et de se rincer le gosier en direct pendant le spectacle. Des réserves d’eau ont toutefois été disséminées discrètement sur le côté des tribunes.
À suivre ?
Nicolas Copperman, président d’EndemolShine France, qui produisait ce programme, était présent hier soir au stade. Il s’est avoué bluffé par la configuration de cette salle de spectacle si particulière. De quoi lui donner des idées pour la suite ? « Si nous revenons, ce ne sera que pour un autre événement de très grande ampleur, précise-t-il. Nous nous étions renseignés il y a quelques années pour l’élection de miss France mais comme c’est en décembre, le problème de température s’est posé ! »
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
lucdelil a écrit :Source of the post Magnifique spectacle hier soir. Quel talent chez ces jeunes
Et que la "salle" était belle.
Je n'ai pas zappé une fois sur le foot, attendant le résumé d'après match.
Scotché!
Exactement. Quel show ! J'aurais aimé voir ça en live, être dans les tribunes. Ca en jetait !
Je préfère le chant aux instruments ou à la danse, mais il faut reconnaitre que tous ont un talent immense. Bon sang, ils ont assuré comme des pros les jeunes ! L'air du toréador, le funiculi funicula, le "o sole moi" par le jeune italien... A chaque fois je poussais le son de la TV, je voulais en avoir plein les oreilles !
Seul bémol pour moi, la présentation par Marianne James, que j'aime beaucoup par ailleurs. J'aurais préféré qu'elle soit avec un autre présentateur, quelqu'un qui a plus l'expérience.
J'aimerais savoir, si des gens étaient présents au stade, quel était le rendu visuel des danses ? Est ce que la scène n'était pas trop loin des spectateurs ? Est ce qu'on voyait bien les chanteurs ? Est ce qu'on entendait vraiment les jeunes choristes ?
C'était en tout cas très réussi. Chapeau bas à tout ceux qui ont œuvré pour la réussite du show, qui se sont démenés depuis des mois pour faire répéter les jeunes de la région.
la vedette du truc finalement reste ce stade, que l'on ne reconnaissait pas hier, putain onze mille led au minimum un par siege qui faisait décor lumineux avec les projo.... phenomenal, .....une vraie salle de spectacle dans un grand stade de foot inoui.
finalement il a défitivement, mérité d etre construit, on ne regrette pas ses sous.
finalement il a défitivement, mérité d etre construit, on ne regrette pas ses sous.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.
J'ai eu la chance d'y être avec les 2 femmes de ma vie, ma femme et ma fille, toutes 2 musiciennes amateurs mais éclairées.
2 heures absolument magiques !
Tout était quasi-parfait ! Les 10.500 jeunes choristes parfaitement bien installées dans la tribune Sud nous ont mis une chaire de poule comme jamais. Fabuleux musicalement et visuellement (Faut les embaucher pour le LOSC !!!). Les lumières étaient sublimes (Je ne sais pas ce que ça donnait à la télé, mais le mur des 10.500 choristes avec leurs pupitres lumineux, c'était super beau). ONL enchaînant avec maestria des courtes séquences de morceaux mythiques. Easy !
Marianne James très bien également, sobre. Et bien sûr les prodiges... Le talent pur à ce niveau-là, il n'y a pas de mot : La voix de cristal de Lucile, la virtuosité de la violoniste Camille, la musicalité du petit clarinettiste Marin...
Un petit bémol néanmoins sur le son. Ce fut un grand moment et je suis content d'y avoir assisté, mais j'en ressors quand même avec l'idée que la musique classique n'est pas vraiment adaptée à un grand stade de foot.
Ce qu'il y a de génial quand tu es en présence d'un Philharmonique de 100 musiciens et presque autant de choristes professionnels, c'est d'entendre leur vrai son. Or là, forcément tout était amplifié par la sono du stade, qui était en réglage pour le direct de France 2, et donc pas toujours équilibré entre les différents acteurs de la soirée. Pour du classique, je préfère quand même une plus grande proximité avec l'orchestre et les chœurs.
En dehors de ça, organisation parfaite des équipes Pierre Mauroy, aux entrées comme aux sorties. Fluides, vigilants mais pas désagréables. Et c'est parce qu'il y a eu apparemment un bel orage durant le concert (Ce dont nous ne nous sommes aperçus qu'en sortant), qu'on se rend compte de la force de ce stade avec son toit, unique en France. On a souvent râlé sur ce stade, mais je l'ai vu en configuration foot, tennis, concert en demi stade, concert en plein stade comme hier soir. Juste parfait !
2 petits détails 1/ Le chauffeur de salle était saoulant, mais c'est son job je suppose. 2/ Je ne sais pas si ça a été mentionné à l'écran, mais le duo entre Gautier Capuçon au Violoncelle et Camille au violon avait été enregistrée l'apm (Because Capuçon pas dispo le soir). Donc, les entendre vanter à Marianne James, la joie de jouer devant 47.000 personnes, alors qu'eux ont joué dans un stade vide, c'est la magie de la télé...
2 heures absolument magiques !
Tout était quasi-parfait ! Les 10.500 jeunes choristes parfaitement bien installées dans la tribune Sud nous ont mis une chaire de poule comme jamais. Fabuleux musicalement et visuellement (Faut les embaucher pour le LOSC !!!). Les lumières étaient sublimes (Je ne sais pas ce que ça donnait à la télé, mais le mur des 10.500 choristes avec leurs pupitres lumineux, c'était super beau). ONL enchaînant avec maestria des courtes séquences de morceaux mythiques. Easy !
Marianne James très bien également, sobre. Et bien sûr les prodiges... Le talent pur à ce niveau-là, il n'y a pas de mot : La voix de cristal de Lucile, la virtuosité de la violoniste Camille, la musicalité du petit clarinettiste Marin...
Un petit bémol néanmoins sur le son. Ce fut un grand moment et je suis content d'y avoir assisté, mais j'en ressors quand même avec l'idée que la musique classique n'est pas vraiment adaptée à un grand stade de foot.
Ce qu'il y a de génial quand tu es en présence d'un Philharmonique de 100 musiciens et presque autant de choristes professionnels, c'est d'entendre leur vrai son. Or là, forcément tout était amplifié par la sono du stade, qui était en réglage pour le direct de France 2, et donc pas toujours équilibré entre les différents acteurs de la soirée. Pour du classique, je préfère quand même une plus grande proximité avec l'orchestre et les chœurs.
En dehors de ça, organisation parfaite des équipes Pierre Mauroy, aux entrées comme aux sorties. Fluides, vigilants mais pas désagréables. Et c'est parce qu'il y a eu apparemment un bel orage durant le concert (Ce dont nous ne nous sommes aperçus qu'en sortant), qu'on se rend compte de la force de ce stade avec son toit, unique en France. On a souvent râlé sur ce stade, mais je l'ai vu en configuration foot, tennis, concert en demi stade, concert en plein stade comme hier soir. Juste parfait !
2 petits détails 1/ Le chauffeur de salle était saoulant, mais c'est son job je suppose. 2/ Je ne sais pas si ça a été mentionné à l'écran, mais le duo entre Gautier Capuçon au Violoncelle et Camille au violon avait été enregistrée l'apm (Because Capuçon pas dispo le soir). Donc, les entendre vanter à Marianne James, la joie de jouer devant 47.000 personnes, alors qu'eux ont joué dans un stade vide, c'est la magie de la télé...
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