Dogue-Son a écrit :Source of the post Gérard Collomb
Merde
J'ai l'impression que le deuxième mandat de not'bon président Macron va en énerver quelques-uns. dodger » sam. 29 déc. 2018 23:41
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
Tu es l'antechrist des climato-dubitatifs ! PO » jeu. 27 déc. 2018 17:27
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
J'y étais à ce Lille Bastia, y'avait tellement de monde qu'on a enfoncé le portillon des populaires et tout le monde est entré.
Y'avait des gens sur les pilones d'éclairage et sur le toit de la maison qui jouxtait Henri-Jooris.
But de stacko de la tête !
Mezarra-Stacko-Adamzik-Navarro
Je crois que c'était Stackowiak pas Stachowiak...
Y'avait des gens sur les pilones d'éclairage et sur le toit de la maison qui jouxtait Henri-Jooris.
But de stacko de la tête !
Mezarra-Stacko-Adamzik-Navarro
Je crois que c'était Stackowiak pas Stachowiak...
Le football nivernais a perdu un des siens : Bernard Stachowiak
Le football nivernais a perdu un de ses serviteurs. Bernard Stachowiak s’est éteint à 84 ans à Nevers, sa ville d’adoption.
Le Ch’ti, natif de Mazingarbe dans le Pas-de-Calais, débute à Bully-les-Mines, avant d’attirer l’attention du LOSC. L’international juniors et militaire, par le biais du bataillon de Joinville, est un défenseur de devoir, solide sur ses jambes, difficile à bouger, avec une patte de pur gaucher. Avec le club nordiste, Bernard Stachowiak devient champion de France de Division 2 et découvre la D1. L’histoire retient que c’est un de ses coups de tête en Corse, lors de la dernière journée, qui maintient son équipe parmi l’élite.
L'équipe de la JGAN en 1972. Debout (de gauche à droite) : Virgile Derras, Bernard Stachowiak, Michel Bouralla, Patrick Jullion, Paul Joz, Alain Barry. Accroupis : José Canizarès, Ahmed Ibrahimi, Claude Pelletier, Patrice Salette, Maryan Simatovic.
L’homme est aussi fidèle que direct et apprécié pour sa bonhommie. Il passe plus d’une décennie à Lille, avant de rejoindre Nevers, en 1969, où il met à profit son diplôme de moniteur d’Éducation physique et sportive au lycée Saint-Cyr, tout en défendant les couleurs de la JGAN. “Stacho” devient le leader incontesté d’une équipe qui monte en CFA en 1970, en terminant deuxième derrière l’AJ Auxerre d’un certain Guy Roux. La consécration intervient en 1973 avec l’accession en D2. Ses coéquipiers s’appellent Salette, Lawniczak, Derras, Ibrahimi, Craque, Kosmalski, Marciniak (...). Bernard Stachowiak se retrouve au duel avec Nestor Combin et autre Just Fontaine.
La parenthèse football se referme en 1976, mais sa vie professionnelle se poursuit dans la galerie marchande de Mammouth (futur Casino). Bernard Stachowiak et sa femme Marie, avec qui il a eu une fille, Dominique, ont géré durant vingt-cinq ans un tabac-presse. Rien de plus naturel, quand on a le contact et l’amusement faciles. Le jardinage et le bricolage occupaient ses journées, autant que le plaisir de profiter de ses petits-enfants, Stéphanie et Nicolas, et de son arrière-petite-fille, Anaë. Rares étaient ces week-ends où Bernard Stachowiak ne racontaient pas une anecdote ou un souvenir dans les stades nivernais.
Ses obsèques seront célébrées jeudi 30 novembre, à 14 h, en l’église du Moüesse à Nevers.
Le football nivernais a perdu un de ses serviteurs. Bernard Stachowiak s’est éteint à 84 ans à Nevers, sa ville d’adoption.
Le Ch’ti, natif de Mazingarbe dans le Pas-de-Calais, débute à Bully-les-Mines, avant d’attirer l’attention du LOSC. L’international juniors et militaire, par le biais du bataillon de Joinville, est un défenseur de devoir, solide sur ses jambes, difficile à bouger, avec une patte de pur gaucher. Avec le club nordiste, Bernard Stachowiak devient champion de France de Division 2 et découvre la D1. L’histoire retient que c’est un de ses coups de tête en Corse, lors de la dernière journée, qui maintient son équipe parmi l’élite.
L'équipe de la JGAN en 1972. Debout (de gauche à droite) : Virgile Derras, Bernard Stachowiak, Michel Bouralla, Patrick Jullion, Paul Joz, Alain Barry. Accroupis : José Canizarès, Ahmed Ibrahimi, Claude Pelletier, Patrice Salette, Maryan Simatovic.
L’homme est aussi fidèle que direct et apprécié pour sa bonhommie. Il passe plus d’une décennie à Lille, avant de rejoindre Nevers, en 1969, où il met à profit son diplôme de moniteur d’Éducation physique et sportive au lycée Saint-Cyr, tout en défendant les couleurs de la JGAN. “Stacho” devient le leader incontesté d’une équipe qui monte en CFA en 1970, en terminant deuxième derrière l’AJ Auxerre d’un certain Guy Roux. La consécration intervient en 1973 avec l’accession en D2. Ses coéquipiers s’appellent Salette, Lawniczak, Derras, Ibrahimi, Craque, Kosmalski, Marciniak (...). Bernard Stachowiak se retrouve au duel avec Nestor Combin et autre Just Fontaine.
La parenthèse football se referme en 1976, mais sa vie professionnelle se poursuit dans la galerie marchande de Mammouth (futur Casino). Bernard Stachowiak et sa femme Marie, avec qui il a eu une fille, Dominique, ont géré durant vingt-cinq ans un tabac-presse. Rien de plus naturel, quand on a le contact et l’amusement faciles. Le jardinage et le bricolage occupaient ses journées, autant que le plaisir de profiter de ses petits-enfants, Stéphanie et Nicolas, et de son arrière-petite-fille, Anaë. Rares étaient ces week-ends où Bernard Stachowiak ne racontaient pas une anecdote ou un souvenir dans les stades nivernais.
Ses obsèques seront célébrées jeudi 30 novembre, à 14 h, en l’église du Moüesse à Nevers.
#JeSuisVasseur
LOSC-Bastia : Quand Patrick Robert se souvient
Président du LOSC Association, Patrick Robert a vu défiler plusieurs générations de Lillois avec la même passion pour le club nordiste. À l’heure d’accueillir l’équipe corse, samedi (20h) au Grand Stade, celui qui dirige aussi la structure des Anciens Dogues revient sur ces LOSC-Bastia qui ont marqué l’histoire. Matchs clés, transferts d’anthologie… il livre ses plus belles anecdotes.
29 juin 1966 - Un barrage inoubliable !
« Modeste 18e à la fin de la saison 1965-1966, le LOSC se voit contraint de disputer les barrages contre Bastia et Limoges pour assurer son maintien parmi l’élite. Défaits à Furiani (2-0) au match aller, les Dogues sortent toutefois victorieux de leur double confrontation face à Limoges (1-0, 0-3) et jouent donc leur billet pour l’élite devant les Corses, à Henri Jooris. Dans un stade comble (des supporters lillois sont même accrochés aux pylônes d’éclairage !), le public nordiste pousse son équipe jusqu’à la libération qui intervient à la 86e minute. Le corner de Claude Petyt trouve la tête victorieuse de Bernard Stachowiak (1-0) ! Le LOSC reste en première division. »
L’équipe lilloise ce soir-là : Samoy – Mezzara, Adamczyk, Stachowiak, Navarro – Michelin, Andrien – Houen, Guy, Peyroche, Petyt.
https://www.losc.fr/actualites-foot-lil ... e-souvient
Président du LOSC Association, Patrick Robert a vu défiler plusieurs générations de Lillois avec la même passion pour le club nordiste. À l’heure d’accueillir l’équipe corse, samedi (20h) au Grand Stade, celui qui dirige aussi la structure des Anciens Dogues revient sur ces LOSC-Bastia qui ont marqué l’histoire. Matchs clés, transferts d’anthologie… il livre ses plus belles anecdotes.
29 juin 1966 - Un barrage inoubliable !
« Modeste 18e à la fin de la saison 1965-1966, le LOSC se voit contraint de disputer les barrages contre Bastia et Limoges pour assurer son maintien parmi l’élite. Défaits à Furiani (2-0) au match aller, les Dogues sortent toutefois victorieux de leur double confrontation face à Limoges (1-0, 0-3) et jouent donc leur billet pour l’élite devant les Corses, à Henri Jooris. Dans un stade comble (des supporters lillois sont même accrochés aux pylônes d’éclairage !), le public nordiste pousse son équipe jusqu’à la libération qui intervient à la 86e minute. Le corner de Claude Petyt trouve la tête victorieuse de Bernard Stachowiak (1-0) ! Le LOSC reste en première division. »
L’équipe lilloise ce soir-là : Samoy – Mezzara, Adamczyk, Stachowiak, Navarro – Michelin, Andrien – Houen, Guy, Peyroche, Petyt.
https://www.losc.fr/actualites-foot-lil ... e-souvient
eljano a écrit :Source of the post Le corner de Claude Petyt trouve la tête victorieuse de Bernard Stachowiak (1-0) ! Le LOSC reste en première division. »
Je n'ai évidemment aucun souvenir direct de ce match, par contre je viens de comprendre une image d'enfance, mon père tout heureux, parlant d'un certain stack aux viaques avec le voisin !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo
Victor Hugo
denisplaya a écrit :Source of the post Tu m'as conquis, j't'adore.
sos amor !!!
La culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale.
Jean Delacour ou Pierre Desproges
Jean Delacour ou Pierre Desproges
