MrK a écrit :Source of the post PO a écrit :Source of the post Si Olivier Létang n'a pas été remercié depuis qu'il est à la Présidence du LOSC, c'est qu'il fait globalement ce que l'actionnaire lui demande de faire : Assainir les finances du club et Maintenir le club dans la colonne de gauche. 2 conditions sine qua non pour envisager de revendre le LOSC dans de bonnes conditions.
Merlyn est un investisseur, pas un supporter.
Stou.
C'est l'histoire d'un mec qui saute du 12e étage d'un immeuble. Quand il passe à hauteur du 5e, il se dit "jusqu'ici, tout va bien".
Une blessure/méfome de David au mauvais moment et ça peut signifier colonne de droite et sortie piteuse en coupe d'Europe.
- Soit l'absence d'un second attaquant est une simple prise de risque délibérée de l'actionnaire, partant du principe que Fonseca ne fait jouer qu'un seul attaquant dans son système, même quand il en a un 2ème dispo, fût il moins bon comme Bayo, même si au final ce sera sans doute le cas si on finit par en trouver 1. => Voir les stats de temps de jeu de JoDa et Bayo sur notre site (39 titu/3400mn vs 7 titu/780mn). Et en cas de blessure de Joda (Crossed fingers...) => Joker médical et/ou Mercato d'hiver.
- Soit Létang s'est planté sur l'attractivité de Bayo, pensant sans doute le vendre ou le prêter bien plus rapidement et avoir le temps d'acheter un N°2 potable, mais sans y parvenir, probablement à cause de la prise en charge du salaire de Mo Bayo certainement exigée par l'actionnaire avant d'en trouver un autre. Mo Bayo qui apparemment émargeait autour de 150 k€/mois, ce qui peut être rédhibitoire pour mal de clubs intéressés par ce genre de profil.
De guerre lasse, Létang a fini par trouver un promu qui voulait un buteur ayant fait au moins une bonne saison en L1 mais sans avoir les moyens de l'acheter, mais c'était devenu trop tard pour conclure les différentes pistes envisagées pour le remplaçant de Bayo.
Perso, je penche pour la 2, mais avec quand même un soupçon de 1 en arrière-plan, en se disant que David était capable de faire le taf, puisqu'il l'a déjà fait.
Gestion de risque cynique typique d'un fond d'investissement qui ne réfléchit pas en termes de performances sportives.