Messages : 1202

index

Hors ligneMessageBakam » sam. 6 avr. 2024 11:10

Oui c'est pour les fumigènes.

Avatar de l’utilisateur
Messages : 6359

index

Hors ligneMessagezarko » sam. 6 avr. 2024 11:13

Le sage a écrit :Source of the post
milenko a écrit :tiens , dans le flaming dogue, quelqu'un a mis la note de 1 à Bentaleb ,comme la semaine dernière
comment dire...


Merci aux modos de supprimer les notes de 1 systématiques de Bentaleb.

ben...on va plus s'en sortir si on commence à faire ça
on peut aussi regarder les notes farfelues sur les autres joueurs. Ou les notes de 10/10 ? ou des 0 ?
Ou on arrête ce jeu, plus la peine

A noter : je ne suis pas l'auteur de la note de 1 pour Bentaleb. D'ailleurs, je remarque que cette note n'est plus présente...le modo l'a viré ? c'est n'importe quoi là les mecs. J'aime bien moi ce jeu, mais faut respecter les règles hein !

Avatar de l’utilisateur
Messages : 9948

index

Hors ligneMessagelenormal » sam. 6 avr. 2024 11:16

Raphaël Cosmidis de 'ÉQUIPE a écrit :Comment le jeu au pied de Lucas Chevalier bonifie les offensives lilloises

Pour sa deuxième saison en Ligue 1, Lucas Chevalier continue d'être essentiel au projet de jeu porté par Paulo Fonseca. Serein balle au pied, il a sublimé les relances lilloises face à l'OM vendredi soir.

Raphaël Cosmidis, mis à jour le 6 avril 2024 à 08h00

Derrière le Paris Saint-Germain vorace de Luis Enrique (65 % de possession en moyenne cette saison, soit quatre points de plus que la saison passée), le LOSC de Paulo Fonseca est l'équipe qui tient le plus le ballon en Ligue 1 (57 %).

Pourtant, les Dogues ne font pas partie des clubs qui s'installent dans le camp adverse pour ne plus jamais en sortir. Au contraire, ils aiment garder le cuir près de leur propre but pour attirer le bloc adverse, le forcer à sortir et le transpercer pour mieux attaquer les espaces entre les lignes ou dans la profondeur. Un projet de jeu très similaire à celui de Roberto De Zerbi du côté de Brighton.

Rien de surprenant : les deux hommes avaient été identifiés par le Chakhtior Donetsk comme des entraîneurs appartenant à la même mouvance. Le Portugais a dirigé le club ukrainien entre 2016 et 2019, l'Italien entre mai 2021 et juillet 2022.

L'importance du gardien dans la sortie de balle

Pour les deux techniciens, le comportement du gardien de but en possession du ballon est essentiel, en particulier lorsque l'adversaire exerce un pressing haut. Vendredi soir, l'Olympique de Marseille, défait 3-1, a d'abord défendu en bloc médian, laissant une grande liberté à la première ligne nordiste, composée de Leny Yoro, Lucas Chevalier et Alexsandro.

Au fil du match, notamment en début de deuxième période, après avoir concédé le premier but (David, 54e) puis après être revenu à 2-1 (81e), les Phocéens ont intensifié la pression sur le porteur adverse. Cette évolution a permis d'observer les qualités de Chevalier au pied, que ce soit sur le jeu court ou le jeu mi-long, au sol comme dans les airs.

Sous Paulo Fonseca, Lille a pris l'habitude d'évoluer avec deux milieux défensifs proches l'un de l'autre au moment de sortir le ballon proprement. Cette doublette attire les milieux relayeurs adverses, doit créer des jeux en triangle avec les centraux et ouvrir l'espace dans le dos des joueurs adverses, où se placent généralement deux à trois autres joueurs : le meneur de jeu, un des excentrés et/ou l'avant-centre. Pour ce match face à l'OM, Rémy Cabella, Hakon Haraldsson et Jonathan David ont occupé cette interligne, tandis qu'Edon Zhegrova collait plutôt la ligne à droite.


Après avoir fait sortir un Marseillais, Chevalier (1) va trouver André (2), qui servira Alexsandro (3) en une touche.

Même idée ici avec Bentaleb (2) et Alexsandro (3) à nouveau. Mais cette fois, le Brésilien n'a pas suffisamment reculé et la passe latérale de l'international algérien va être contrée par Gueye.
Ce surnombre à l'intérieur doit permettre aux Lillois de repartir court et de trouver ou de mettre un joueur orienté vers l'avant, dans une position plutôt axiale. Des jeux en triangle peuvent s'enchaîner pour y parvenir. Chevalier est souvent le point de départ de cette recherche. Il doit repérer quel milieu de terrain décroche pour jouer en une touche vers un central face au jeu qui pourra conduire ou jouer plus loin à son tour.

Lorsqu'il ne touche pas directement un milieu et sert latéralement ou en diagonale un défenseur central, Chevalier doit rapidement recréer un angle de passe en soutien, car cette transmission vers un des centraux déclenche souvent le pressing adverse, qui va tenter d'enfermer le LOSC côté ballon.

Marseille n'est pas sorti et ses partenaires ne sont pas encore tous bien orientés. Alors Chevalier garde le ballon sous la semelle et recule avec.

Quelques secondes plus tard, Marseille est sorti en nombre, ouvrant un énorme espace dans le dos des milieux. Chevalier (1) sert Bentaleb (2) qui va remettre pour Alexsandro (3).

Quand l'adversaire refuse de sortir dans un premier temps, Chevalier est invité à poser le pied sur le ballon et à se montrer patient. Dès que l'adversaire indique son intention de presser, suit les décrochages des milieux, le LOSC retrouve son contexte préférentiel et peut tenter à nouveau de transpercer le pressing adverse. Des séquences presque identiques apparaissent dans le jeu de Brighton, neuvièmes de Premier League.

La vision du jeu mi-long

Cette proximité entre les cinq joueurs les plus reculés (le gardien, les deux centraux, les deux milieux défensifs) attire naturellement trois voire quatre adversaires, notamment lorsque ces derniers pratiquent le marquage individuel. En suivant de très près les déplacements lillois, ils ouvrent des espaces dans leur dos, forçant leur ligne défensive à faire un choix : sortir très fort sur les positionnements ou décrochages des joueurs offensifs dans l'interligne, au risque d'ouvrir un grand espace dans leur dos, ou les laisser recevoir le ballon pour essayer de les ralentir ensuite.

Dès le début de la rencontre, les deux relayeurs marseillais, Azzedine Ounahi et Jordan Veretout, sont sortis très haut sur les deux milieux défensifs nordistes, laissant à Pape Gueye la responsabilité de couvrir un espace très large dans leur dos. Les Dogues n'ont pas souvent su en profiter en première période, préférant chercher le dos de la défense directement.

Seul, Chevalier va servir André, totalement libre entre les lignes.

Cette fois, c'est David qui se retrouve seul dans le même espace. Chevalier va le trouver d'une passe appuyée.
Ils se sont montrés plus patients au fil du match, y compris Chevalier, qui a perçu à plusieurs reprises que les solutions les plus courtes étaient fermées et que les plus lointaines étaient inaccessibles. Mais tous les espaces ne peuvent pas être défendus simultanément sur un terrain de football. Si les options courtes sont fermées et la profondeur gérée par l'adversaire, il faut trouver l'espace entre-deux.

De plus en plus mis sous pression par des Phocéens qui voulaient revenir au score, Chevalier a vécu quelques situations d'urgence dans lesquelles il a brillé, en éteignant ou en cassant le pressing adverse. Son mélange de sérénité et de concentration balle au pied ont participé à certaines des meilleures séquences lilloises, y compris le troisième but de Gudmundsson (84e), initié par une relance osée de sa part.

Mis sous pression, Chevalier va réussir à toucher David d'un joli ballon tendu et simple à contrôler.

Mis sous pression sans que les centraux soient bien positionnés et orientés pour demander le ballon, Chevalier choisit de sauter cette ligne et trouve directement Tiago Santos plus haut. Au bout de l'action, le latéral portugais sera passeur décisif pour Gudmundsson.
Candidat à l'Euro 2024, Chevalier vivrait un tout autre projet de jeu en équipe de France s'il était appelé. Aux Jeux Olympiques, en revanche, les codes qu'il a appris avec Paulo Fonseca pourraient plaire à Thierry Henry, friand des sorties de balle et du jeu de position.

D'ici là, ses pieds comme ses mains doivent aider le LOSC à rêver d'Europe. Contre Aston Villa, dès jeudi, en quarts de finale aller de Ligue Europa Conférence, puis lors des six dernières journées de Ligue 1, pour que son club formateur retrouve la Ligue des champions, deux ans après un huitième de finale perdu contre Chelsea.


PS : je suis désolé, je ne sais pas mettre les photos en ligne... et peut-être ai-je fait quelqueserreurs dans mes C:C ?
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”

Avatar de l’utilisateur
Messages : 20853

index

Hors ligneMessagePO » sam. 6 avr. 2024 11:40

Merci Alain. Le jeu au pied de Lucas est à souligner. Il y a apporté beaucoup de variété hier soir.

Avatar de l’utilisateur
Messages : 9948

index

Hors ligneMessagelenormal » sam. 6 avr. 2024 11:45

Je suis bien d'accord.
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”

Avatar de l’utilisateur
Messages : 6359

index

Hors ligneMessagezarko » sam. 6 avr. 2024 11:52

Il y a surtout le travail de Fonseca sur les sorties de balle. Le résultat est le fruit de ces deux années de travail avec son groupe

Hier, la construction du jeu pour attirer les marseillais et bénéficier des espaces a été appliquée le plus souvent possible.

Avatar de l’utilisateur
Messages : 9948

index

Hors ligneMessagelenormal » sam. 6 avr. 2024 11:55

On en a pas beaucoup parlé, mais l'OM a battu le LOSC au nombre d'avertissements : 6 à 1.
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”

Avatar de l’utilisateur
Messages : 5987

index

Hors ligneMessageSmith » sam. 6 avr. 2024 12:13

lenormal a écrit :Source of the post
Raphaël Cosmidis de 'ÉQUIPE a écrit :Comment le jeu au pied de Lucas Chevalier bonifie les offensives lilloises

Pour sa deuxième saison en Ligue 1, Lucas Chevalier continue d'être essentiel au projet de jeu porté par Paulo Fonseca. Serein balle au pied, il a sublimé les relances lilloises face à l'OM vendredi soir.

Raphaël Cosmidis, mis à jour le 6 avril 2024 à 08h00

Derrière le Paris Saint-Germain vorace de Luis Enrique (65 % de possession en moyenne cette saison, soit quatre points de plus que la saison passée), le LOSC de Paulo Fonseca est l'équipe qui tient le plus le ballon en Ligue 1 (57 %).

Pourtant, les Dogues ne font pas partie des clubs qui s'installent dans le camp adverse pour ne plus jamais en sortir. Au contraire, ils aiment garder le cuir près de leur propre but pour attirer le bloc adverse, le forcer à sortir et le transpercer pour mieux attaquer les espaces entre les lignes ou dans la profondeur. Un projet de jeu très similaire à celui de Roberto De Zerbi du côté de Brighton.

Rien de surprenant : les deux hommes avaient été identifiés par le Chakhtior Donetsk comme des entraîneurs appartenant à la même mouvance. Le Portugais a dirigé le club ukrainien entre 2016 et 2019, l'Italien entre mai 2021 et juillet 2022.

L'importance du gardien dans la sortie de balle

Pour les deux techniciens, le comportement du gardien de but en possession du ballon est essentiel, en particulier lorsque l'adversaire exerce un pressing haut. Vendredi soir, l'Olympique de Marseille, défait 3-1, a d'abord défendu en bloc médian, laissant une grande liberté à la première ligne nordiste, composée de Leny Yoro, Lucas Chevalier et Alexsandro.

Au fil du match, notamment en début de deuxième période, après avoir concédé le premier but (David, 54e) puis après être revenu à 2-1 (81e), les Phocéens ont intensifié la pression sur le porteur adverse. Cette évolution a permis d'observer les qualités de Chevalier au pied, que ce soit sur le jeu court ou le jeu mi-long, au sol comme dans les airs.

Sous Paulo Fonseca, Lille a pris l'habitude d'évoluer avec deux milieux défensifs proches l'un de l'autre au moment de sortir le ballon proprement. Cette doublette attire les milieux relayeurs adverses, doit créer des jeux en triangle avec les centraux et ouvrir l'espace dans le dos des joueurs adverses, où se placent généralement deux à trois autres joueurs : le meneur de jeu, un des excentrés et/ou l'avant-centre. Pour ce match face à l'OM, Rémy Cabella, Hakon Haraldsson et Jonathan David ont occupé cette interligne, tandis qu'Edon Zhegrova collait plutôt la ligne à droite.

Image
Après avoir fait sortir un Marseillais, Chevalier (1) va trouver André (2), qui servira Alexsandro (3) en une touche.

Image
Même idée ici avec Bentaleb (2) et Alexsandro (3) à nouveau. Mais cette fois, le Brésilien n'a pas suffisamment reculé et la passe latérale de l'international algérien va être contrée par Gueye.

Ce surnombre à l'intérieur doit permettre aux Lillois de repartir court et de trouver ou de mettre un joueur orienté vers l'avant, dans une position plutôt axiale. Des jeux en triangle peuvent s'enchaîner pour y parvenir. Chevalier est souvent le point de départ de cette recherche. Il doit repérer quel milieu de terrain décroche pour jouer en une touche vers un central face au jeu qui pourra conduire ou jouer plus loin à son tour.

Lorsqu'il ne touche pas directement un milieu et sert latéralement ou en diagonale un défenseur central, Chevalier doit rapidement recréer un angle de passe en soutien, car cette transmission vers un des centraux déclenche souvent le pressing adverse, qui va tenter d'enfermer le LOSC côté ballon.

Image
Marseille n'est pas sorti et ses partenaires ne sont pas encore tous bien orientés. Alors Chevalier garde le ballon sous la semelle et recule avec.

Image
Quelques secondes plus tard, Marseille est sorti en nombre, ouvrant un énorme espace dans le dos des milieux. Chevalier (1) sert Bentaleb (2) qui va remettre pour Alexsandro (3).

Quand l'adversaire refuse de sortir dans un premier temps, Chevalier est invité à poser le pied sur le ballon et à se montrer patient. Dès que l'adversaire indique son intention de presser, suit les décrochages des milieux, le LOSC retrouve son contexte préférentiel et peut tenter à nouveau de transpercer le pressing adverse. Des séquences presque identiques apparaissent dans le jeu de Brighton, neuvièmes de Premier League.

La vision du jeu mi-long

Cette proximité entre les cinq joueurs les plus reculés (le gardien, les deux centraux, les deux milieux défensifs) attire naturellement trois voire quatre adversaires, notamment lorsque ces derniers pratiquent le marquage individuel. En suivant de très près les déplacements lillois, ils ouvrent des espaces dans leur dos, forçant leur ligne défensive à faire un choix : sortir très fort sur les positionnements ou décrochages des joueurs offensifs dans l'interligne, au risque d'ouvrir un grand espace dans leur dos, ou les laisser recevoir le ballon pour essayer de les ralentir ensuite.

Dès le début de la rencontre, les deux relayeurs marseillais, Azzedine Ounahi et Jordan Veretout, sont sortis très haut sur les deux milieux défensifs nordistes, laissant à Pape Gueye la responsabilité de couvrir un espace très large dans leur dos. Les Dogues n'ont pas souvent su en profiter en première période, préférant chercher le dos de la défense directement.

Image
Seul, Chevalier va servir André, totalement libre entre les lignes.

Image
Cette fois, c'est David qui se retrouve seul dans le même espace. Chevalier va le trouver d'une passe appuyée.

Ils se sont montrés plus patients au fil du match, y compris Chevalier, qui a perçu à plusieurs reprises que les solutions les plus courtes étaient fermées et que les plus lointaines étaient inaccessibles. Mais tous les espaces ne peuvent pas être défendus simultanément sur un terrain de football. Si les options courtes sont fermées et la profondeur gérée par l'adversaire, il faut trouver l'espace entre-deux.

De plus en plus mis sous pression par des Phocéens qui voulaient revenir au score, Chevalier a vécu quelques situations d'urgence dans lesquelles il a brillé, en éteignant ou en cassant le pressing adverse. Son mélange de sérénité et de concentration balle au pied ont participé à certaines des meilleures séquences lilloises, y compris le troisième but de Gudmundsson (84e), initié par une relance osée de sa part.

Image
Mis sous pression, Chevalier va réussir à toucher David d'un joli ballon tendu et simple à contrôler.

Image
Mis sous pression sans que les centraux soient bien positionnés et orientés pour demander le ballon, Chevalier choisit de sauter cette ligne et trouve directement Tiago Santos plus haut. Au bout de l'action, le latéral portugais sera passeur décisif pour Gudmundsson.

Candidat à l'Euro 2024, Chevalier vivrait un tout autre projet de jeu en équipe de France s'il était appelé. Aux Jeux Olympiques, en revanche, les codes qu'il a appris avec Paulo Fonseca pourraient plaire à Thierry Henry, friand des sorties de balle et du jeu de position.

D'ici là, ses pieds comme ses mains doivent aider le LOSC à rêver d'Europe. Contre Aston Villa, dès jeudi, en quarts de finale aller de Ligue Europa Conférence, puis lors des six dernières journées de Ligue 1, pour que son club formateur retrouve la Ligue des champions, deux ans après un huitième de finale perdu contre Chelsea.


;-)

Avatar de l’utilisateur
Messages : 15663

index

Hors ligneMessagedodger » sam. 6 avr. 2024 12:19

zarko a écrit :Source of the post mais quand même, il y avait du gros salaires alignés encore hier, et quelques joueurs qui étaient dans notre viseur à un moment, mais impossible à faire.

Hier dans l'After RMC, un des journalistes disait qu'il avait eu accès aux salaires (certains pas tous) de l'OM. Correa c'est 500 k€/mois !
Souvent la foule trahit le peuple.
Victor Hugo

Avatar de l’utilisateur
Messages : 14901

index

Hors ligneMessagezaz » sam. 6 avr. 2024 12:22

La qualité de passes de bentaleb un Regal... L ouverture sur le but de Cabella.. un dosage parfait... Vraiment une belle recrue.

Avatar de l’utilisateur
Messages : 20083

index

Hors ligneMessageMiladin Béca » sam. 6 avr. 2024 12:23

Sans aucune mauvaise foi, quand je vois l'effectif du Losc et celui de Marseille, c'est logique d'être devant eux.

Y'a quand même pas grand monde qui fait rêver à Marseille, d'ailleurs y'a quasiment aucune rumeur sur un gros transfert d'un marseillais vers un autre club.

On nous survend Longoria depuis quelques années mais y'avait bien mieux à faire avec cet argent dépensé.

Messages : 1967

index

Hors ligneMessageSamos » sam. 6 avr. 2024 12:30

Quelle equipe, quelle entente , un vrai groupe .. on peut faire quelque chose de grand cette saison , j y crois

Avatar de l’utilisateur
Messages : 9948

index

Hors ligneMessagelenormal » sam. 6 avr. 2024 12:43

Merci Smith, c'est plus parlant !
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”

Avatar de l’utilisateur
Messages : 6359

index

Hors ligneMessagezarko » sam. 6 avr. 2024 12:45

Merci Lenormal et Smith pour ces éclairages

En 2ème mi-temps, je me suis régalé à voir ces ouvertures de Chevalier dans le milieu de terrain. Les marseillais ne savaient pas quelle option retenir, il y avait toujours une autre solution lilloise qui était appliquée.

Avatar de l’utilisateur
Messages : 12888

index

Hors ligneMessageZappa » sam. 6 avr. 2024 12:48

Il fallait être patient mais l'équipe a bien appris et maitrise maintenant cette construction de l'arrière.
Elle est aussi devenue moins "caricaturale" au fil du temps car je me souviens bien des pertes dangereuses que quasi tout le monde détestait ici (moi le premier).
Bravo le coach, Chevalier pour son calme et l'alternance de relances courtes/longues, et tous les joueurs concernés (généralement la charnière centrale et les 2 milieux défs).

Avatar de l’utilisateur
Messages : 5558

index

Hors ligneMessageraymondbarh » sam. 6 avr. 2024 12:54

SamT a écrit :Source of the post
Gooze a écrit :Source of the post
Miladin Béca a écrit :Y'a rien de nouveau avec certains débiles lillois, comme par exemple la Losc Army qui existe depuis des années, suffit de se rappeler de certains déplacements avec les DVE dans les années 90 et les fameux "Losc Army, Losc Army, Losc Army" dans les rues.

Y'a rien de nouveau non plus avec les marseillais et le fait qu'ils soient considérés comme des supporters étrangers ( maghrébins en l'occurrence, faut le dire ), ils le revendiquent d'ailleurs eux mêmes. Ici même, tous les ans, on peut lire des "les footix de Roubaix et Tourcoing vont envahir le stade". On sait très bien qu'on parle des cités de ces villes.

Faut pas faire de longues études pour savoir que les ultras sont de droite et même très à droite et que les groupes marseillais sont de gauche et même très à gauche.

Ce n'est que le reflet de la société française mais ce n'est pas nouveau, ne jouons pas les étonnés parce que 3 drapeaux français sont brandis par des ultras.


+1
Miladin a toujours, je trouve, le recul pour dire les choses d'une façon simple et efficace, de remettre les choses en place.

J'ajouterais que les marseillais sont aussi les 1ers à cracher sur la France, à se revendiquer marseillais et non Français, les maghrébins sont les 1er à brandir leurs drapeaux (sans doute par simple patriotisme...)
A partir de ce constat, il faut pas s'étonner et arrêter de pleurnicher parce que 2/3 drapeaux Français sont brandis!

J'ajouterais surtout qu'on s'en fout : le LOSC a gagné contre les 2 pires clubs en 1 semaine, avec une efficacité redoutable, une capacité de reaction hier qui fait plaisir, un état d'esprit irréprochable.

Bravo et allez le LOSC !



Tant qu’on banalisera ce genre d’action alors oui le racisme et nationalisme aura de beaux jours devant lui….

Moi je ne m’en fout pas! Ça m’a gâché une partie de la soirée.

Ce genre de démonstration n’a rien à faire dans un stade et nul part ailleurs. Je suis le premier à vouloir suivre les chants bon enfant notamment en sud seconde où ça bouge pas bcp et alors qu’on se plaint parfois du manque d’engouement dans le stade qui ne suit pas toujours les demandes des DVE par leur « tout le stade avec nous » Mais suivre un groupe qui s’affiche ouvertement raciste par ce genre de démonstration m’est insupportable étant profondément non raciste.

Pour moi ces drapeaux associés à La Croix celtique pour au moins un d’entre eux et bien plus grave qu’un Marseille ou Lens on t’encule! Mais ça ne fera pas une ligne dans les journaux.

C’est tout simplement honteux. Y’a pas de débat.

Par ailleurs, je remarque depuis quelques matchs que côté DVE devant le kapo, une bâche rouge de forme arrondi est déployée 2 ou 3 fois durant le match. Est ce que vous savez à quoi cela sert?

Tout pareil SamT, comme pour Lens, les réactions qu’on a ou pas face à ce genre d’événements font partie du problème…
stop au génocide *emoji drapeau palestinien*

Avatar de l’utilisateur
Messages : 6251

index

Hors ligneMessageLucky » sam. 6 avr. 2024 12:57

Aubameyang avait un regard vide.
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte

Avatar de l’utilisateur
Messages : 20083

index

Hors ligneMessageMiladin Béca » sam. 6 avr. 2024 12:59

Non mais là faut réagir par rapport à quoi ? 3 drapeaux français ? Sérieusement ?

Avatar de l’utilisateur
Messages : 6359

index

Hors ligneMessagezarko » sam. 6 avr. 2024 13:02

Miladin Béca a écrit :Source of the post Non mais là faut réagir par rapport à quoi ? 3 drapeaux français ? Sérieusement ?

pas que...


https://twitter.com/oursmvt/status/1776395558518694364

Avatar de l’utilisateur
Messages : 6251

index

Hors ligneMessageLucky » sam. 6 avr. 2024 13:02

Miladin Béca a écrit :Source of the post Non mais là faut réagir par rapport à quoi ? 3 drapeaux français ? Sérieusement ?

En France tu as pas le droit d’avoir des drapeaux Français.
« Cher Lillois vous allez me manquer »José Fonte


Retourner vers « Avenue du Petit-Paradis »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot], Djeunzzz, Jooo et 73 invités