Jeanne Massa a écrit :Source of the post PO a écrit :Source of the post LudwigVon a écrit :Source of the post En même temps, je vois aucune raison d'être optimiste avec Macron aux commandes (moi quinqua qui vit confortablement...).
Je crains toujours autant une remontada du FN en 2022. Voir en 2020 aux municipales... Ici, dans le Calaisis, ça pue vraiment par exemple...
Si le FN remonte à ce point en 2022, c'est que Mélenchon n'aura pas su incarner une opposition crédible.
T'es au courant que le FN fait plus de voix que la France Insoumise ?
Tu crois trop facilement ce qu'il se dit, PO.Alors oui, la FI incarne une opposition car ils ont un projet bien réel contrairement au FN. Mais le FN est très loin d'etre le parti en crise qu'on voudrait nous vendre.
Regarde le nombre de candidat FN présent au second tour des législatives, et meme 8 d'entre eux ont fait plus de 50%. (il y a encore 3 ans, c'est à peine s'ils savaient gagné un canton sans triangulaire ...)
1/ Oui, je suis au courant. De très très peu (600 kvoix), tu nous l'a suffisamment répété à l'issue du premier tour de la Présidentielle.
2/ Non, je ne "crois" rien, j'écoute.
On va faire simple (D'aucuns ne manqueront pas de souligner que je ne peux pas faire plus) :
Macron est au pouvoir. Il peut se planter. Seuls les résultats seront juges.
Aujourd'hui, les 2 anciens partis de l'alternance sont exsangues : Le PS va mettre 20-30 ans à s'en remettre. Ce qui reste des LR est clairement partitioné entre le courant Wauquiez-Ciotti et le courant des "constructifs". Tôt ou tard, ils recréeront un genre de RPR 2.0 de droite décomplexée, et un genre d'UDF 2.0 allié de REM, si ce n'est un courant de REM.
Reste donc 2 partis auto-proclamés d'opposition, capables d'être au second tour de 2022 : Le FN, 7,6 millions de voix en 2017. La FI, 7 millions de voix (Un poil derrière Fillon).
Si Macron échoue, il jarte. Reste le FN et la FI. Si les français choisissent le FN en 2022, difficile d'en conclure autre chose qu'ils n'ont pas été convaincus par Mélenchon et son équipe.
Le pouvoir, y compris de s'opposer, ça ne se demande pas, ça se prend ! Le Pen et Mélenchon l'ont pris. Il faut désormais l'assumer.