Le topic refroidit!
Décès de Dominique D'Onofrio
l’ancien entraîneur du Standard de Liège, Dominique D’Onofrio (62 ans), a succombé le 12 fev 2016 à une crise cardiaque en Argentine. En 2012, il avait remplacé Joël Muller au poste de directeur sportif du FC Metz.
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C'est du très froid ;-)
Décès de Dominique D'Onofrio
l’ancien entraîneur du Standard de Liège, Dominique D’Onofrio (62 ans), a succombé le 12 fev 2016 à une crise cardiaque en Argentine. En 2012, il avait remplacé Joël Muller au poste de directeur sportif du FC Metz.
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C'est du très froid ;-)
Modifié en dernier par Lejo le ven. 26 févr. 2016 15:53, modifié 1 fois.
L'humour est un vaccin, y'a que les que les cons qui n'ont pas trouvé la pharmacie.
P. Perret.
P. Perret.
Ray Tomlinson, l’inventeur de l’email et de l’@, est décédé
Sans lui, vous ne pourriez pas envoyer de messages via une adresse électronique. Ray Tomlinson est mort samedi 5 mars à l’âge de 74 ans.
De nos jours, envoyer un mail ou utiliser un « @ » est quelque chose de commun. Pourtant, il a bien fallu les inventer. C’est à Raymond « Ray » Tomlinson, un américain né en 1941, que nous devons cette révolution dans la manière que nous avons de communiquer. L’homme est décédé hier, samedi 5 mars, à l’âge de 74 ans.
C’est dès l’année 1971 que l’ingénieur met en place deux programmes. Le premier, nommé SNDMSG, sert à envoyer des messages sur Arpanet, soit un réseau précurseur dans le domaine de transfert de données sur Internet. Le second, Readmail, a pour fonction de récolter et de lire ces messages. On assiste alors aux balbutiements du courrier électronique, plus communément appelé « mail ».
« QWERTYUIOP » : le premier mail jamais envoyé
Il est également le père de l’ « @ », qui lui servira à identifier le destinataire et l’auteur des messages envoyés sur Arpanet et Readmail. C’est l’invention de l’adresse électronique. Pour séparer le nom de la personne de l’entreprise ou organisation pour lesquelles elle travaille, Ray Tomlinson choisit un signe identifiable : ce sera l’ « @ », appelé « arobase » en français et « at » en anglais. Selon une interview de l’inventeur dans le Times, le tout premier message qu’il envoya par mail fut « QWERTYUIOP », soit les premières touches sur son clavier.
En reconnaissance de son travail, l’homme a reçu à de multiples honneurs. Il est ainsi récipiendaire du prix Prince des Asturies en sciences et technologies (2009) et, surtout, a été nommé en 2012 au temple de la renommée d’Internet, catégorie « innovateurs ».
La Voix du Nord
Sans lui, vous ne pourriez pas envoyer de messages via une adresse électronique. Ray Tomlinson est mort samedi 5 mars à l’âge de 74 ans.
De nos jours, envoyer un mail ou utiliser un « @ » est quelque chose de commun. Pourtant, il a bien fallu les inventer. C’est à Raymond « Ray » Tomlinson, un américain né en 1941, que nous devons cette révolution dans la manière que nous avons de communiquer. L’homme est décédé hier, samedi 5 mars, à l’âge de 74 ans.
C’est dès l’année 1971 que l’ingénieur met en place deux programmes. Le premier, nommé SNDMSG, sert à envoyer des messages sur Arpanet, soit un réseau précurseur dans le domaine de transfert de données sur Internet. Le second, Readmail, a pour fonction de récolter et de lire ces messages. On assiste alors aux balbutiements du courrier électronique, plus communément appelé « mail ».
« QWERTYUIOP » : le premier mail jamais envoyé
Il est également le père de l’ « @ », qui lui servira à identifier le destinataire et l’auteur des messages envoyés sur Arpanet et Readmail. C’est l’invention de l’adresse électronique. Pour séparer le nom de la personne de l’entreprise ou organisation pour lesquelles elle travaille, Ray Tomlinson choisit un signe identifiable : ce sera l’ « @ », appelé « arobase » en français et « at » en anglais. Selon une interview de l’inventeur dans le Times, le tout premier message qu’il envoya par mail fut « QWERTYUIOP », soit les premières touches sur son clavier.
En reconnaissance de son travail, l’homme a reçu à de multiples honneurs. Il est ainsi récipiendaire du prix Prince des Asturies en sciences et technologies (2009) et, surtout, a été nommé en 2012 au temple de la renommée d’Internet, catégorie « innovateurs ».
La Voix du Nord
Le chef d’orchestre autrichien Nikolaus Harnoncourt est mort
Le Monde.fr avec AFP | 06.03.2016 à 13h32 • Mis à jour le 06.03.2016 à 17h27
Nikolaus Harnoncourt pendant une répétition de « La Flûte enchantée », de Mozart, à Salzbourg, le 24 juillet 2012.
Le chef d’orchestre autrichien Nikolaus Harnoncourt est mort à l’âge de 86 ans, a annoncé dimanche 6 mars sa famille, citée par l’agence de presse APA. Le 5 mars « Nikolaus Harnoncourt a rendu son dernier souffle paisiblement dans le cercle familial », selon une courte annonce de sa famille.
Le comte Nikolaus de la Fontaine und d’Harnoncourt-Unverzagt est né à Berlin le 6 décembre 1929 d’une mère issue de la dynastie des Habsbourg et d’un père de descendance lorraine passé au service de cette même famille qui a longtemps régné sur l’Europe centrale.
Considéré comme le « pape » du renouveau baroque, le chef d’orchestre avait annoncé en décembre qu’il mettait fin à sa carrière en raison de problèmes de santé. Il ne s’était jamais cantonné à un style, enregistrant le répertoire dans toute sa variété, jusqu’aux romantiques et à la musique du XXe siècle.
Retrait en décembre 2015
« Mes capacités physiques exigent une annulation de mes projets à venir », avait écrit le chef début décembre dans une lettre ouverte manuscrite au public présent pour écouter un concert de l’ensemble de musique baroque qu’il a fondé à Vienne, le Concentus Musicus Wien. « Une relation incroyablement profonde s’est nouée entre nous sur la scène et vous dans la salle – nous sommes devenus une joyeuse communauté de pionniers ! », expliquait le maestro dans sa lettre imprimée sur le programme du concert de cet ensemble fondé dans les années 1950. « Restez-moi fidèles », concluait-il.
Le festival Styriarte, qu’il a créé à Graz, la ville du sud de l’Autriche qui l’a vu grandir, avait aussi mis en ligne un message intitulé « Nikolaus Harnoncourt quitte la scène » dans lequel les organisateurs disaient être « affectés » par cette décision.
« Une ère s’achève », a estimé auprès de l’APA Thomas Angyan, intendant du Musikverein, l’une des plus prestigieuses institutions musicales viennoises. « Je ne pensais pas qu’il s’écoulerait si peu de temps entre sa retraite et sa mort. […] Il était l’original du son original. […] Nous devons poursuivre l’héritage musical qu’il nous laisse », a-t-il ajouté.
Le Concentus Musicus Wien, fondé par Harnoncourt lorsqu’il jouait du violoncelle à l’Orchestre symphonique de Vienne, s’est consacré à l’interprétation de la musique baroque européenne sur des instruments d’époque, et ce à partir de nombreux travaux de recherche, contribuant à révolutionner l’interprétation de cette musique.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/disparitions/arti ... bfEvxOt.99
Le Monde.fr avec AFP | 06.03.2016 à 13h32 • Mis à jour le 06.03.2016 à 17h27
Nikolaus Harnoncourt pendant une répétition de « La Flûte enchantée », de Mozart, à Salzbourg, le 24 juillet 2012.
Le chef d’orchestre autrichien Nikolaus Harnoncourt est mort à l’âge de 86 ans, a annoncé dimanche 6 mars sa famille, citée par l’agence de presse APA. Le 5 mars « Nikolaus Harnoncourt a rendu son dernier souffle paisiblement dans le cercle familial », selon une courte annonce de sa famille.
Le comte Nikolaus de la Fontaine und d’Harnoncourt-Unverzagt est né à Berlin le 6 décembre 1929 d’une mère issue de la dynastie des Habsbourg et d’un père de descendance lorraine passé au service de cette même famille qui a longtemps régné sur l’Europe centrale.
Considéré comme le « pape » du renouveau baroque, le chef d’orchestre avait annoncé en décembre qu’il mettait fin à sa carrière en raison de problèmes de santé. Il ne s’était jamais cantonné à un style, enregistrant le répertoire dans toute sa variété, jusqu’aux romantiques et à la musique du XXe siècle.
Retrait en décembre 2015
« Mes capacités physiques exigent une annulation de mes projets à venir », avait écrit le chef début décembre dans une lettre ouverte manuscrite au public présent pour écouter un concert de l’ensemble de musique baroque qu’il a fondé à Vienne, le Concentus Musicus Wien. « Une relation incroyablement profonde s’est nouée entre nous sur la scène et vous dans la salle – nous sommes devenus une joyeuse communauté de pionniers ! », expliquait le maestro dans sa lettre imprimée sur le programme du concert de cet ensemble fondé dans les années 1950. « Restez-moi fidèles », concluait-il.
Le festival Styriarte, qu’il a créé à Graz, la ville du sud de l’Autriche qui l’a vu grandir, avait aussi mis en ligne un message intitulé « Nikolaus Harnoncourt quitte la scène » dans lequel les organisateurs disaient être « affectés » par cette décision.
« Une ère s’achève », a estimé auprès de l’APA Thomas Angyan, intendant du Musikverein, l’une des plus prestigieuses institutions musicales viennoises. « Je ne pensais pas qu’il s’écoulerait si peu de temps entre sa retraite et sa mort. […] Il était l’original du son original. […] Nous devons poursuivre l’héritage musical qu’il nous laisse », a-t-il ajouté.
Le Concentus Musicus Wien, fondé par Harnoncourt lorsqu’il jouait du violoncelle à l’Orchestre symphonique de Vienne, s’est consacré à l’interprétation de la musique baroque européenne sur des instruments d’époque, et ce à partir de nombreux travaux de recherche, contribuant à révolutionner l’interprétation de cette musique.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/disparitions/arti ... bfEvxOt.99
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Parler à un con, c'est comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat. Pierre Desproges.
Tony Dyson, le papa de R2-D2, est mort
Le professeur Tony Dyson, qui fabriqua R2-D2 en 1977 pour la saga Star Wars (désigné par Ralph Mc Quarrie), est mort à l’âge de 68 ans sur l’île maltaise de Gozo. L’homme avait également participé à l’élaboration de C-3PO, Chewbacca et même Dark Vador.
Le professeur Tony Dyson, qui fabriqua R2-D2 en 1977 pour la saga Star Wars (désigné par Ralph Mc Quarrie), est mort à l’âge de 68 ans sur l’île maltaise de Gozo. L’homme avait également participé à l’élaboration de C-3PO, Chewbacca et même Dark Vador.