Chaque pilote a son style de pilotage.
Rossi ne faisait rien chez Ducati.
Lorenzo était un monstre chez Yamaha, il a eut du mal chez Ducati avant de gagner quelques courses, il est au fond du trou chez Honda pourtant ça reste un grand champion.
Stoner a été le seul ces dernières années à dompter une Ducati, son style était formidable.
Zarco doit rouler sur une Yamaha ou une Suzuki, je ne le vois pas faire de miracles en 3 courses chez Honda même si je l'espère.
Rossi ne faisait rien chez Ducati.
Lorenzo était un monstre chez Yamaha, il a eut du mal chez Ducati avant de gagner quelques courses, il est au fond du trou chez Honda pourtant ça reste un grand champion.
Stoner a été le seul ces dernières années à dompter une Ducati, son style était formidable.
Zarco doit rouler sur une Yamaha ou une Suzuki, je ne le vois pas faire de miracles en 3 courses chez Honda même si je l'espère.
lucdelil a écrit :Source of the post rhôôôô, 21 de moyenne en courant, qd je fais 23 en VTT, je suis heureux...
Tu ne dois pas utiliser les mêmes vitamines :-)
“ Qui veut faire quelque chose trouve toujours un moyen... Qui ne veut rien faire trouve une excuse ”
Miladin Béca a écrit :Source of the post Chaque pilote a son style de pilotage.
Rossi ne faisait rien chez Ducati.
Lorenzo était un monstre chez Yamaha, il a eut du mal chez Ducati avant de gagner quelques courses, il est au fond du trou chez Honda pourtant ça reste un grand champion.
Stoner a été le seul ces dernières années à dompter une Ducati, son style était formidable.
Zarco doit rouler sur une Yamaha ou une Suzuki, je ne le vois pas faire de miracles en 3 courses chez Honda même si je l'espère.
https://www.facebook.com/MovieDLiveone/videos/2484235778568262/
LGNord a écrit :Source of the post un homme sous les 2 heures en marathon. Course non officielle mais bel exploit.
il aurait mieux fait de courir le marathon des championnats du monde , là c'est officieux ( y'a certainement un gros chéque de nike )
"les lensois avaient une plume dans le cul et ils croyaient qu'ils pouvaient voler" Zarko
Une performance pas homologuée par la Fédération internationale d'athlétisme
Pour mettre son champion dans les meilleures conditions, le sponsor n'a rien laissé au hasard: trois mois et demi de préparation du tracé, un parcours asphalté pour ne présenter aucune imperfection, une piste testée à maintes reprises notamment grâce à des logiciels de simulation, un jour et un horaire choisis en fonction de conditions météo favorables (température, taux d'humidité, qualité de l'air) et même ... la chute automnale des feuilles des arbres contrôlée de près.
En raison de ces conditions particulières, la performance ne sera pas homologuée par la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF). Pour gravir son Everest, Kipchoge a bénéficié de l'aide de 41 «sherpas» de très haut niveau, comme l'ancienne légende du fond Bernard Lagat, deux des frères Ingebritgsen qui règnent sur le demi-fond et le fond européen, ou encore le champion olympique du 1500 m, Matthew Centrowitz.
«Courir pour l'histoire»
Tel un président courant son jogging entouré de gardes du corps, le longiligne Kényan (1,67 m, 52 kg) a ainsi bénéficié d'un tempo régulier autour de 2 min 50 sec au km assuré par ces lièvres qui se relayaient par groupes de sept autour de lui, tous les 5 km. Et une voiture de tête donnait le tempo devant eux. C'était la deuxième fois que Kipchoge s'attaquait à la barre des deux heures dans des conditions de ce type.
Sur le circuit automobile de Monza (Italie), en mai 2017, le Kényan avait manqué pour 25 secondes de passer sous les deux heures, lors d'un événement similaire organisé par des sponsors. «J'ai suivi le même entraînement, mon équipe est la même, mais j'ai amélioré encore mon mental» a-t-il expliqué avant sa tentative. «Je me sens mieux préparé et je suis confiant.»
Le Kényan est l'un des plus grands coureurs de tous les temps, révélé au public lors de sa victoire sur 5.000 m des Mondiaux de Paris en 2003. Vainqueur du marathon des JO de Rio (2016), Eliud Kipchoge est quasiment invaincu sur cette distance depuis 2013. Cette fois, il disait vouloir «courir pour l'histoire». Il y est définitivement entré ce samedi.
Pour mettre son champion dans les meilleures conditions, le sponsor n'a rien laissé au hasard: trois mois et demi de préparation du tracé, un parcours asphalté pour ne présenter aucune imperfection, une piste testée à maintes reprises notamment grâce à des logiciels de simulation, un jour et un horaire choisis en fonction de conditions météo favorables (température, taux d'humidité, qualité de l'air) et même ... la chute automnale des feuilles des arbres contrôlée de près.
En raison de ces conditions particulières, la performance ne sera pas homologuée par la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF). Pour gravir son Everest, Kipchoge a bénéficié de l'aide de 41 «sherpas» de très haut niveau, comme l'ancienne légende du fond Bernard Lagat, deux des frères Ingebritgsen qui règnent sur le demi-fond et le fond européen, ou encore le champion olympique du 1500 m, Matthew Centrowitz.
«Courir pour l'histoire»
Tel un président courant son jogging entouré de gardes du corps, le longiligne Kényan (1,67 m, 52 kg) a ainsi bénéficié d'un tempo régulier autour de 2 min 50 sec au km assuré par ces lièvres qui se relayaient par groupes de sept autour de lui, tous les 5 km. Et une voiture de tête donnait le tempo devant eux. C'était la deuxième fois que Kipchoge s'attaquait à la barre des deux heures dans des conditions de ce type.
Sur le circuit automobile de Monza (Italie), en mai 2017, le Kényan avait manqué pour 25 secondes de passer sous les deux heures, lors d'un événement similaire organisé par des sponsors. «J'ai suivi le même entraînement, mon équipe est la même, mais j'ai amélioré encore mon mental» a-t-il expliqué avant sa tentative. «Je me sens mieux préparé et je suis confiant.»
Le Kényan est l'un des plus grands coureurs de tous les temps, révélé au public lors de sa victoire sur 5.000 m des Mondiaux de Paris en 2003. Vainqueur du marathon des JO de Rio (2016), Eliud Kipchoge est quasiment invaincu sur cette distance depuis 2013. Cette fois, il disait vouloir «courir pour l'histoire». Il y est définitivement entré ce samedi.
zinecote a écrit :Source of the postLGNord a écrit :Source of the post un homme sous les 2 heures en marathon. Course non officielle mais bel exploit.
il aurait mieux fait de courir le marathon des championnats du monde , là c'est officieux ( y'a certainement un gros chéque de nike )
Sauf qu'au championnat du monde, il n'aurait pas eu une 40aine de lièvres rémunérés pour lui imposer la cadence nécessaire, avec même une voiture accompagnatrice qui grâce à un système de faisceaux laser au sol lui indiquait le rythme à suivre.
Ca n'enlève rien au mérite de cet athlète, mais disons que c'est plus un établissement de record qu'une vraie course en solo.
c'est là ou je voulais en venir PO ,dans 50 ans son titre de champion il l'aurait toujours , en revanche le jour ou un gars passe sous les 2 heures pendant un "vrai" marathon , il passe aux oubliettes
"les lensois avaient une plume dans le cul et ils croyaient qu'ils pouvaient voler" Zarko
Je t’envie grave.
Je n’arrive pas à retrouver la volonté et surtout le temps de me remettre à un sport.
Le taf me prend trop de temps et d’énergie + la vie de famille...ouais je t’envie vraiment.
GO LE LOSC GO GO!
La vie est belle!
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