Feuille de match LOSC - Valenciennes FC
VS
Saison 2017/2018 - 1/16 de finale
Mercredi 25 octobre 2017 à 18H45
Stade Pierre Mauroy
Officiels
Arbitre principal : Frank SCHNEIDER
Arbitres assistants : Djemel ZITOUNI
Nicolas HENNINOT
4e arbitre : Sylvain PALHIES
Délégué principal : Rémy KREMER
Délégué assistant : Hervé SIRAUX
Diffuseurs
VS
Saison 2017/2018 - 1/16 de finale
Mercredi 25 octobre 2017 à 18H45
Stade Pierre Mauroy
Officiels
Arbitre principal : Frank SCHNEIDER
Arbitres assistants : Djemel ZITOUNI
Nicolas HENNINOT
4e arbitre : Sylvain PALHIES
Délégué principal : Rémy KREMER
Délégué assistant : Hervé SIRAUX
Diffuseurs
Mélenchon a écrit :Source of the post J'ai été retiré mes invitations, je sens que je vais bien rigoler.
Idem mais je sens qu'il va falloir de la motivation (ou de la drogue) pour aller jusqu'au stade...
énorme enfoiré a écrit :
Discret le Nek' ces derniers temps.
J'espère qu'il va revenir avec Raymondbard et Leelh'osc.
Discret le Nek' ces derniers temps.
J'espère qu'il va revenir avec Raymondbard et Leelh'osc.
Autocrate a écrit :Source of the postLeelh osc a écrit :Can you change this photo ?! Drapeau de la Russie.... Super....
C'est quoi ce racisme anti Russe ?
Déjà de base, on est sur un match du LOSC et non pas un match de la Russie. Deuxième, la Russie est un gros pays de FDP mis à part la troupe de Navalny. Et pour finir, je n'ai rien d'autre à dire.
Avec la énième prestation de merde de notre équipe et les choix pourris de Bielsa, je pense rester chez moi et ne pas prendre les invitations.
Lopez nous promettait du beau jeu avec Bielsa. C'est encore pire que les derniers coachs passés après Garcia.
Lopez nous promettait du beau jeu avec Bielsa. C'est encore pire que les derniers coachs passés après Garcia.
J'espère une équipe B,une élimination et le championnat avant tout.
Lors de son année à Marseille,seul Mandanda était remplaçant en coupe,il y a peu de chance qu'il fasse tourner.
Pour le moment le seul turn over de Bielsa c'est a Strasbourg ou après chaque but il a changé ......... de gardien.
Lors de son année à Marseille,seul Mandanda était remplaçant en coupe,il y a peu de chance qu'il fasse tourner.
Pour le moment le seul turn over de Bielsa c'est a Strasbourg ou après chaque but il a changé ......... de gardien.
Ligue 1
Marcelo Bielsa, les mots et les maux
Droit dans ses bottes, l’entraîneur du LOSC continue à répondre aux questions. Mais, tout comme le jeu de son équipe, sa communication, entre déni et manque de perspectives, interroge de plus en plus.
Par Christophe Kuchly | Publié le 23/10/2017
Les journées passent, le LOSC n’avance pas mais aucune réelle autocritique n’a été entamée. À écouter son coach, Lille n’est pas récompensé et accumule les galères imméritées : dur à suivre. PHOTO PASCAL BONNIERE
Le football se joue et se jouera toujours sur le terrain. Mais, dans un monde où chaque phrase est disséquée, les discours ont un sens. Surtout ceux de Marcelo Bielsa, homme qui a donné des conférences partout dans le monde et pèse chaque mot. Et les siens, notamment ceux prononcés après la défaite à Rennes samedi (1-0), s’éloignent peu à peu de la réalité. Analyse.
« Hormis le but encaissé, il n’y a pas eu de situation dangereuse contre nous (…) et nous avons eu cinq occasions qui auraient pu permettre de marquer »
Un fait incontestable : les statistiques de la Ligue donnent six tirs cadrés à zéro pour Rennes. Les deux frappes mal ajustées de Pépé dans la surface et la tête de Gnagnon vers son but sont de vraies occasions mais, même en comptant la tête de Ié déviée après un corner, on n’arrive pas à cinq. Surtout, comment qualifier les interventions de Maignan, notamment cette claquette sur une frappe de Traoré en fin de partie ?
« L’équipe joue comme je le souhaite »
Dans le style sans doute, à savoir au sol, en essayant de construire et en multipliant les courses. Mais, dans l’application, c’est plus que laborieux. Après plusieurs mois de vécu commun et avec un onze qui change peu, les Lillois ne sont pas meilleurs que lors des matchs de préparation. Samedi, ils ont même souvent tenté de sauter les lignes pour jouer en profondeur. Pas sûr que ce soit l’idéal de jeu de Bielsa.
« Je ne pense pas que les joueurs soient perdus et aient du mal à se situer, au contraire »
Si tout le monde est à l’aise dans les deux systèmes utilisés (4-2-3-1 et 3-3-3-1) d’une rencontre à l’autre et dans les différentes positions que certains sont amenés à occuper, à l’image d’un Maia découvrant cette fois – sans être indigne d’ailleurs – le poste de défenseur central… où est le problème ? Et quelle est la marge de progression ?
Le coach, interrogé sur ses motifs de satisfaction, a dit avoir aimé l’aspect défensif. Avant de rappeler, sans plus de précision, que les performances, individuelles et collectives, sont soigneusement analysées après chaque match.
« Les adversaires ne sont pas meilleurs que nous mais nous avons du mal à traduire notre supériorité par des victoires »
Lille est effectivement rarement dominé mais de là à parler de supériorité, il y a un grand pas. Sauf à se concentrer sur la possession, un indicateur intéressant mais vain quand la balle circule entre les défenseurs, sans menace pour l’adversaire. Après la déroute 0-4 contre Monaco, Marc Ingla se satisfaisait d’avoir « dominé le champion ». Avant Rennes, Thiago Mendes a lui affirmé : « On est supérieurs à nos adversaires, c’est juste une phase qu’il faut traverser. » Un optimisme collectif qui vire au déni de réalité.
Dans le film La Haine, on entend la phrase « l’important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage ». Le LOSC, relégable, continue sa chute. Et s’il n’y a ni déclic ni remise en question, l’atterrissage risque d’être brutal.
http://www.lavoixdunord.fr/251145/artic ... t-les-maux
Marcelo Bielsa, les mots et les maux
Droit dans ses bottes, l’entraîneur du LOSC continue à répondre aux questions. Mais, tout comme le jeu de son équipe, sa communication, entre déni et manque de perspectives, interroge de plus en plus.
Par Christophe Kuchly | Publié le 23/10/2017
Les journées passent, le LOSC n’avance pas mais aucune réelle autocritique n’a été entamée. À écouter son coach, Lille n’est pas récompensé et accumule les galères imméritées : dur à suivre. PHOTO PASCAL BONNIERE
Le football se joue et se jouera toujours sur le terrain. Mais, dans un monde où chaque phrase est disséquée, les discours ont un sens. Surtout ceux de Marcelo Bielsa, homme qui a donné des conférences partout dans le monde et pèse chaque mot. Et les siens, notamment ceux prononcés après la défaite à Rennes samedi (1-0), s’éloignent peu à peu de la réalité. Analyse.
« Hormis le but encaissé, il n’y a pas eu de situation dangereuse contre nous (…) et nous avons eu cinq occasions qui auraient pu permettre de marquer »
Un fait incontestable : les statistiques de la Ligue donnent six tirs cadrés à zéro pour Rennes. Les deux frappes mal ajustées de Pépé dans la surface et la tête de Gnagnon vers son but sont de vraies occasions mais, même en comptant la tête de Ié déviée après un corner, on n’arrive pas à cinq. Surtout, comment qualifier les interventions de Maignan, notamment cette claquette sur une frappe de Traoré en fin de partie ?
« L’équipe joue comme je le souhaite »
Dans le style sans doute, à savoir au sol, en essayant de construire et en multipliant les courses. Mais, dans l’application, c’est plus que laborieux. Après plusieurs mois de vécu commun et avec un onze qui change peu, les Lillois ne sont pas meilleurs que lors des matchs de préparation. Samedi, ils ont même souvent tenté de sauter les lignes pour jouer en profondeur. Pas sûr que ce soit l’idéal de jeu de Bielsa.
« Je ne pense pas que les joueurs soient perdus et aient du mal à se situer, au contraire »
Si tout le monde est à l’aise dans les deux systèmes utilisés (4-2-3-1 et 3-3-3-1) d’une rencontre à l’autre et dans les différentes positions que certains sont amenés à occuper, à l’image d’un Maia découvrant cette fois – sans être indigne d’ailleurs – le poste de défenseur central… où est le problème ? Et quelle est la marge de progression ?
Le coach, interrogé sur ses motifs de satisfaction, a dit avoir aimé l’aspect défensif. Avant de rappeler, sans plus de précision, que les performances, individuelles et collectives, sont soigneusement analysées après chaque match.
« Les adversaires ne sont pas meilleurs que nous mais nous avons du mal à traduire notre supériorité par des victoires »
Lille est effectivement rarement dominé mais de là à parler de supériorité, il y a un grand pas. Sauf à se concentrer sur la possession, un indicateur intéressant mais vain quand la balle circule entre les défenseurs, sans menace pour l’adversaire. Après la déroute 0-4 contre Monaco, Marc Ingla se satisfaisait d’avoir « dominé le champion ». Avant Rennes, Thiago Mendes a lui affirmé : « On est supérieurs à nos adversaires, c’est juste une phase qu’il faut traverser. » Un optimisme collectif qui vire au déni de réalité.
Dans le film La Haine, on entend la phrase « l’important c’est pas la chute, c’est l’atterrissage ». Le LOSC, relégable, continue sa chute. Et s’il n’y a ni déclic ni remise en question, l’atterrissage risque d’être brutal.
http://www.lavoixdunord.fr/251145/artic ... t-les-maux
En fait on parlait de Mendes qui manquait pour relancer la machine : visiblement non.
Il en manque encore 2 vs le premier 11 de Bielsa face à Nantes :
- Malcuit : qui manque qd même pas mal sur le côté. On a souvent dit que c'était le meilleur joueur à chaque match par sa vitesse, son pressing, son envie.
- NDP : Pas pour NDP lui-même, mais pour un vrai AC ... pas comme Pépié carré.
Donc :
- Est-ce Malcuit sera de retour contre l'OM ? ou même Valenciennes ?
- Est-ce qu'on essaierait pas Ponce à la place de Pépé putain ?!
Il en manque encore 2 vs le premier 11 de Bielsa face à Nantes :
- Malcuit : qui manque qd même pas mal sur le côté. On a souvent dit que c'était le meilleur joueur à chaque match par sa vitesse, son pressing, son envie.
- NDP : Pas pour NDP lui-même, mais pour un vrai AC ... pas comme Pépié carré.
Donc :
- Est-ce Malcuit sera de retour contre l'OM ? ou même Valenciennes ?
- Est-ce qu'on essaierait pas Ponce à la place de Pépé putain ?!
"En tout cas, on te l'souhaite."