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Hors ligneMessageLeelh osc » dim. 7 mai 2017 05:33

On dirait un stade Lego des années 80. Assez bizarre ! Combien de place ?

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Hors ligneMessageXylophène » mar. 16 mai 2017 14:29


https://twitter.com/StadePM/status/864429824080850945
Qui mange du feu chie des étincelles.

(proverbe flamand)

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Hors ligneMessageMarcoVanBasten » mar. 16 mai 2017 14:45

Y'a des gens qui regardent encore l'équipe de France de rugby ?
#trollinside ^^
"En tout cas, on te l'souhaite."

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Hors ligneMessageAutocrate » mar. 16 mai 2017 16:09

C'est peut etre pas le lieux mais faudrait aborder un jour le sujet et la régression constante du XV de France !

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Hors ligneMessageemille » mar. 16 mai 2017 21:02

lucdelil a écrit :Source of the post 415€ la nuit (prix salon)
Et comme les allemands sont des énormes enfoirés, toutes les chambres ont été réglées il y a un an et demi (à la resa)

C'est donc la boîte qui paie =)

A ce prix là, t'as un oreiller au moins !
Superbes photos, un grd merci ;-)

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Hors ligneMessagesolid.snake » sam. 20 mai 2017 14:55

VALENCIENNES

L’agglo prend la main sur la gestion du stade et met la pression sur le club... pour une reprise ?


C’est acté depuis vendredi soir. Valenciennes Métropole va gérer en direct le stade du VAFC. Une manière aussi de rappeler qu’elle est un partenaire incontournable du club. Et qu’elle aura son mot à dire sur un éventuel changement d’actionnaires.

Par Théodore Terschlusen | Publié le 20/05/2017

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Aujourd’hui en régie directe. Demain, placé dans une belle corbeille de mariée ? Photo aérienne Philippe PAUCHET La Voix du Nord

C’est un coup de cymbale qui a été donné vendredi, à l’agglo. À l’unanimité, les élus ont placé le Stade du Hainaut en régie autonome. Une petite révolution, alors que depuis sa construction, Valenciennes Métropole avait confié sa gestion à une entreprise privée, Vert Marine. Exit donc la délégation de service public, la méthode de toujours de l’intercommunalité locale. Place à la gestion directe.

Future corbeille de mariée ?

Décision technique ? Le président Degallaix a expliqué que le changement résultait d’un appel d’offres infructueux. La DSP, remise sur le marché, n’a pas trouvé preneur. Ou plutôt Vert Marine n’a pas répondu dans les clous, ce qui arrange tout le monde. Et l’agglo qui peut avancer, et l’entreprise qui n’avait peut-être pas envie de poursuivre l’aventure. Le VAFC, depuis son arrivée, est passé en Ligue 2. Le stade qui accueillait 12 à 13 000 visiteurs en première division (hors grands matchs) en reçoit aujourd’hui entre 6 et 7 000, a expliqué Joël Soigneux, vice-président chargé des sports. Et puis la Cité des congrès a surgi, qui propose elle aussi ses salons VIP. Pas de quoi faciliter l’équilibre économique.


Bref, la régie tombe pile. À terme,l’agglo pourrait bien offrir une belle corbeille de mariée à un futur propriétaire du VAFC : le club + le stade. Pas neutre alors que depuis avril, un gros poisson s’est présenté. Nul autre que le groupe Partouche. Le propriétaire des casinos adore le foot, serait prêt à faire un gros chèque. Et viendrait même avec Seydoux dans ses bagages. Bref, le duo qui a fait les beaux jours du grand Lille. C’est gentil, a répondu le président du VAFC Eddy Zdziech, « mais le VAFC n’est pas à vendre ». L’actuel propriétaire trouve que son groupe d’actionnaires a fait du bon boulot « en apurant les dettes qu’il n’avait pas faites ».


Est-il légitime que la collectivité «verse de l’argent public dans une structure qui refuserait des fonds privés ? »

Le monde du foot n’est pas celui des Bisounours. Vendredi, MM. Degallaix et Soigneux ont quand même pris des gants vis-à-vis d’Eddy Zdziech, appelé au secours par Borloo en personne. Le club était en pleine panade, il a fait du bon boulot. Mais les fins de mois du VAFC seraient toujours difficiles. Surtout, dixit Joël Soigneux, «pour remonter en Ligue 1, il faut un budget très très conséquent » . Or le président n’a rien contre du renfort, mais à condition de garder les clefs. Laurent Degallaix a clairement laissé entendre que l’agglo aussi aura son mot à dire. Comme la Ville, elle a aidé au redressement, entre autres en effaçant la charge du centre de formation. Question du député-maire de Valenciennes, qui n’a pas fini de résonner : est-il légitime que la collectivité « verse de l’argent public dans une structure qui refuserait des fonds privés ? ».

http://www.lavoixdunord.fr/165618/artic ... r-le-club#

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En ligneMessageDjeunzzz » sam. 20 mai 2017 22:13

Le stade d'Amiens en chantier toute la saison prochaine en L1

LE SCAN SPORT - Le promu devra remplacer la toiture en verre du stade de la Licorne avec un nouveau matériau plus sûr.

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A l'issue d'un final à couper le souffle lors de la dernière journée de Ligue 2 et grâce à un but marqué à Reims à dernière minute du temps réglementaire, Amiens a arraché son billet pour la Ligue 1 la saison prochaine. Mais le club picard disputera toute la saison parmi l'élite avec un stade en chantier pour changer la toiture du stade. «Les travaux vont commencer en juin et vont se faire tribune par tribune, à raison d'une tribune par trimestre», a déclaré à l'AFP Alain Gest, président d'Amiens-métropole et député Les Républicains de la Somme.

Inauguré en 1999, le stade futuriste de la Licorne n'a pas été suffisamment entretenu par les différentes municipalités et la toiture transparente en verre présentait «de graves dangers», a indiqué l'élu se basant sur un audit effectué en 2016. Du coup, le club a été contraint de démonter toute la verrière qui servait de toiture en début d'année, soit 2000 plaques de verres par tribune. Ces plaques seront remplacées à partir du mois de juin par un matériau de plastique rigide et transparent utilisé aux stades du Havre et de Nice. Le montant des travaux a été évalué à 7,5 millions d'euros qui seront pris en charge par la communauté d'agglomération.

Conséquence de ces travaux, l'équipe d'Amiens évoluera donc toute la saison prochaine dans une enceinte qui sera amputée d'une tribune mais Alain Gest a assuré qu'une tribune temporaire sera montée pour compenser la fermeture d'une partie des places réservées aux spectateurs. «On aura au minimum, sans ajout de tribune supplémentaire, entre 8.000 et 9.500 places sures, mais on espère arriver à la contenance normale de 12.000 grâce à des tribunes supplémentaires», a assuré le responsable.
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Hors ligneMessagejames » dim. 21 mai 2017 10:31

lucdelil a écrit :Source of the post stade totalement similaire, sans le toit
aucune différence notoire à part les places debout pour la tribune active

a noter, dès hier matin, ils ont fait tourner d'énormes ventilateur pour "aérer" (?) la pelouse
les ventilos fonctionnaient encore ce matin...incroyable
je ne vois pas à quoi ca peut servir
je pense que comme a mauroy ils doivent avoir des difficultés dans l'évacuation des eaux usees. les ventilos assechant la pelouse du surplus d'eau qui ne s'écoulerait pas assez vite et provoquerait une état boueux inaproprié.
J'ai pensé à celà car à lille on ne les a plus vu arroser avant les matchs, et la pelouse a retrouvé une meilleure tenue pendant les matchs.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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En ligneMessageDjeunzzz » dim. 21 mai 2017 15:25

Ne confonds pas la boîte à pestacles avec une fosse sceptique...
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Hors ligneMessagejames » lun. 22 mai 2017 10:02

Toujours la petite pique semi humoristique, qui n'apporte rien au débat.
Il vaut mieux donner à réfléchir que de chercher à convaincre.

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Hors ligneMessageLeelh osc » mar. 30 mai 2017 13:58

Alors DM au GS ?!

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Hors ligneMessagebbl » mer. 31 mai 2017 17:24

Rugby

Neuf villes ont été retenues dans le dossier de candidature de la France pour accueillir des matches de la Coupe du monde 2023, remis jeudi à World Rugby et où ne figurent pas Paris, Lens et Montpellier, a-t-on appris mercredi auprès de Claude Atcher, directeur de la candidature.

Les neuf élues sont Lille (stade Pierre-Mauroy), Nantes (La Beaujoire), Bordeaux (Matmut Stadium), Toulouse (Stadium), Marseille (Vélodrome), Nice (Allianz-Riviera), Lyon (Parc OL), Saint-Etienne (Geoffroy-Guichard) et Saint-Denis (Stade de France).
Le comité de candidature souhaitait retenir le Parc des Princes mais n’a pu obtenir l’accord de la mairie de Paris, liée par une convention d’occupation à QSI, le propriétaire qatarien du club de football du Paris Saint-Germain opposé à la tenue de matches de la Coupe du monde 2023 dans le stade.
La ville de Paris, même si elle n’accueillera pas de matches, a néanmoins été retenue comme ville hôte de la compétition.
IKEA est le meilleur prénom pour une femme :
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En ligneMessageamericain-merguez » mer. 31 mai 2017 18:22

Leelh osc a écrit :Source of the post Alors DM au GS ?!


Chaud bouillant, grosse ambiance, show au top, mais là je ne suis guère objectif. Comparé à Amsterdam et Anvers, largement au-dessus. Le public nordiste n'a pas failli à sa réputation en matière de concert. Prochaine étape, samedi à Londres.
Une petite photo du (demi) stade :

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Hors ligneMessagebbl » mer. 31 mai 2017 19:36

1
La bonne surprise
« Il en résulte une charge nette de 7,5 millions d’euros par an pour la Métropole européenne de Lille (MEL). » Ce chiffre repéré dans le rapport des observations définitives de la chambre régionale des comptes sur la gestion du stade Pierre-Mauroy depuis 2010 donne une idée précise du coût réel supporté par la communauté urbaine. « Cette charge couvre l’acquisition d’un bien qui a une valeur », précise par courrier Damien Castelain, président de la MEL. Qui estime le « vrai reste à charge à 5 millions d’euros par an pour la MEL. » « Tant pendant la phase de construction du stade que pendant celle d’exploitation depuis 2012, la Métropole a géré son projet de Grand stade avec rigueur », notent les magistrats.
2
Le flop d’Eiffage
Avec un surcoût de 132 millions d’euros, soit un dépassement de 45 %(contre 8 % en moyenne) du montant prévu au contrat (288 millions d’euros hors frais financiers et aménagement de voirie), la chambre régionale des comptes pointe la pertinence du partenariat public-privé. Seule la société Elisa (filiale à 100 % d’Eiffage créée pour l’occasion) doit faire face aux surcoûts générés par « le caractère innovant » de la structure. Difficultés qui auraient été « sous-estimées ». Ce stade couplant une enceinte multisport de 50 000 places et salle de spectacle de 25 000 places. « Le transfert du risque a été opéré uniquement vers la personne privée », qui depuis conteste et a porté le contentieux devant le tribunal administratif. Reste cette phrase assassine issue du rapport : « En l’absence de sous-estimation du coût de construction du stade, Eiffage n’aurait pu emporter le contrat et montrer son savoir-faire technique. »
3
Les éléments chiffrés
Coût contractuel : 288 millions d’euros ; frais financiers : 20 millions ; aménagement de voirie : 145 millions ; surcoûts : 132 millions et ouvrages annexes : 56 millions d’euros.
Un gouffre pour Eiffage
« À Lille, je n’attends pas une profitabilité merveilleuse. Mais si nous arrivons à organiser suffisamment de spectacles les jours où le LOSC ne l’occupe pas, cela devrait suffire. » Comment ne pas faire ici écho de cette déclaration que Jean-François Roverato, président du groupe Eiffage, avait prononcée dans nos colonnes en 2012 ?
Cinq ans plus tard, le constat de la chambre régionale des comptes est sans appel. « Les premières années d’exploitation du stade sont déficitaires. Sont en cause, notamment l’insuffisance d’activités et le manque de rentabilité pour la partie événementielle, liés à l’absence d’expertise initiale dans ce domaine de la société de projet Elisa. Du point de vue de la MEL, l’accumulation de déficits constitue une préoccupation en termes de poursuite d’exploitation du stade ».
Près de 50 M € en cumul
Cette conclusion tirée du rapport de la chambre régionale des comptes pose un problème d’autant plus grand que le retour à l’équilibre n’est visiblement pas dans l’air du temps. « La chambre constate que l’activité commerciale et la rentabilité de l’exploitation du stade se situent nettement en deçà des objectifs du plan d’affaires d’Elisa. Le partenaire privé rencontre des difficultés persistantes à développer l’activité ».
Les comptes de résultats affichent des déficits comptables « de 6,6 M€ en 2012 ; 17,5 M€ en 2013, 13,1 M€ en 2014 et 12,2 M€ en 2015 », soit de près de 50 M€ en cumul. Activités non commerciales (mise à disposition pour le LOSC) et commerciales sont déficitaires et l’endettement est à la hausse… Un gouffre.
Touche d’optimisme
La situation ne pouvait échapper à Damien Castelain qui, dans le courrier envoyé au président de la chambre régionale des comptes, fait part « de sa préoccupation » quant à l’avenir de la société Elisa qui « fera l’objet d’une vigilance particulière de la part des services de la MEL ». Face au risque de faillite arrive cette touche d’optimisme assumée par le président de la MEL : « le Grand stade reste financièrement soutenable et les montants en jeu ne paraissent pas de nature à pouvoir déstabiliser nos équilibres financiers (lire ci-dessus) ».
Le LOSC, mauvais payeur

Les choses avaient plutôt bien démarré. Dès la saison 2012-2013, les matchs du LOSC attiraient 40 000 personnes en moyenne sur les 50 000 places disponibles. Une fréquentation de 80 % qui est tombée à 77 %, puis à 73 % pour marquer « une baisse sensible » en 2015-2016 avec un taux de 30 000 personnes en moyenne par match soit 60 %. D’excellents, les chiffres sont devenus passables. Ce qui n’est pas sans incidence.
Le LOSC, club résident du Grand Stade Pierre-Mauroy, verse une redevance à la MEL dont la part fixe est de 4,7 millions d’euros contre 5,1 millions conseillés par la chambre régionale des comptes. Un écart minime qui ne traduit « aucune erreur manifeste ». Les tensions sont ailleurs, à la fois sur la part variable (billetterie) dont la chambre « recommande d’élargir l’assiette » et sur les retards de versements (parfois plus de 200 jours contre les 60 prévus), ce qui devrait générer des « intérêts moratoires ». Enfin, la chambre précise dans ses conclusions « que la charge nette annuelle du stade prise en charge par la MEL (7,5 M €) et les autres collectivités publiques (Région) est d’environ 10 millions d’euros ». Une somme qui serait à réévaluer « au moins à 15 millions si le LOSC descendait en Ligue 2 », « entre la diminution conventionnelle du loyer et la baisse des recettes de sponsoring ».
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Hors ligneMessagesolid.snake » mer. 31 mai 2017 19:50

Stade Pierre Mauroy : la chambre régionale des comptes épingle une exploitation déficitaire

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Le Stade Pierre-Mauroy avant le concert de Bruno Mars / © MaxPPP
La Chambre régionale des comptes (CRC) des Hauts-de-France a critiqué dans un rapport la sous-exploitation du Stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d'Ascq, près de Lille, un équipement multi-fonctions trop peu utilisé pour les événements non sportifs.

Par AFP Publié le 31/05/2017 à 18:39
Inauguré en 2012, le grand stade de la métropole lilloise, où joue le LOSC, a la particularité d'être une enceinte de 50 000 places avec un toit rétractable, et qui peut se muer en "boîte à spectacle" pouvant accueillir 25 000 personnes. Pour sa construction, la Métropole européenne de Lille (MEL) a eu recours à un partenariat public-privé (PPP) avec le groupe de BTP Eiffage. Dans ce rapport d'une quarantaine de pages daté du 1er mars, qui doit être présenté jeudi soir au conseil de la MEL, la CRC estime que "tant pendant sa phase de construction, que pendant l'exploitation depuis 2012, la Métropole a géré son projet grand stade avec rigueur". D'après Damien Castelain, président de la MEL (sans étiquette), "la procédure de PPP et la rigueur avec laquelle la MEL a fait appliquer le contrat ont été très protecteurs des finances publiques et par là-même des impôts des métropolitains".

En revanche, l'organe de contrôle pointe du doigt des premières années d'exploitation déficitaires. En cause notamment "l'insuffisance d'activité et le manque de rentabilité pour la partie événementielle, liés à l'absence d'expertise initiale dans ce domaine de la société de projet Elisa", filiale à 100% de Eiffage et créée spécifiquement pour répondre à ce contrat. Celle-ci "ne présentait pas de compétence particulière dans la gestion d'un équipement multifonctionnel (....) et s'est ainsi confrontée à une difficulté forte pour la programmation des spectacles et des compétitions sportives." Face à cette critique, la société Elisa, installée dans l'enceinte du stade, juge que "les difficultés rencontrées au démarrage de l'exploitation du stade correspondent à une phase de montée en charge habituelle (...)".

Une programmation plus riche cette année
La programmation de plusieurs artistes en 2017 (Depeche Mode, Justin Bieber, Céline Dion...) doit montrer "la pertinence des choix techniques initiaux pour installer le stade sur le marché événementiel", d'après Elisa. La maire de Lille Martine Aubry avait déclaré en octobre 2016 qu'il pourrait y avoir plus de spectacles "si Eiffage se bougeait un peu". Selon la CRC, une persistance des déficits "pourrait ne pas être supportable" pour Elisa, même si la société mère "dispose de capacités financières élevées". La construction du stade avait entraîné des surcoûts estimés à 132 millions d'euros à la charge du partenaire privé qui font l'objet "d'un contentieux toujours pendant devant le juge administratif" avec la MEL, note le rapport.

Ce rapport survient alors que Damien Castelain a été mis en examen pour "trafic d'influence passif" et "complicité de favoritisme" dans l'enquête sur l'attribution du marché à Eiffage en 2008.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/ ... 64523.html

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Hors ligneMessageJonsi » mer. 31 mai 2017 19:56

DM c était moyen, première partie du set molle, vieux titres ca marche encore.
Merci la coke.

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En ligneMessageamericain-merguez » mer. 31 mai 2017 19:58

Jonsi a écrit :Source of the post Merci la coke.


Mouarf.

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Hors ligneMessageJonsi » mer. 31 mai 2017 20:03

Bha il avait l air chargé non?

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En ligneMessageamericain-merguez » mer. 31 mai 2017 20:05

Très heureux oui, chargé, ça fait belles lurettes qu'il ne l'est plus, mais c'est vrai qu'à une certaine période il l'était vraiment, et beaucoup.

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Hors ligneMessageJonsi » mer. 31 mai 2017 20:11

Autant pour moi, next arcade fire et Radiohead.


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