Yorick a écrit :Source of the postemille a écrit :Source of the post Les insectes prédateurs que sont les perces oreilles, coccinelle... Sont très utile au jardin contre les pucerons.
La liste des prédateurs est très longue entre la grenouille et le hérisson. Il faut tout faire pour qu'il s'y sentent bien. Et ci les nichoirs déco peuvent être qualifié de bobo, perso je m'en fout. De plus c'est une idée de cadeaux facile. Que demande le peuple ?
Orientation exposée au soleil particulièrement pour les pollinisateurs comme les abeilles solitaires qui vont squatter les buches percées ou les bambous.
Pour les buches percés, il faut prendre du bois que ne se fissure pas. Pour le bambou il faut laisser les nœuds. L'abeille ne bouche qu'un côté.
Pour la hauteur, ça dépend certains bourdons nichent au sol dans d'anciens terriers d'autres sont arboricoles. Les bourdons c'est galère à avoir, pour les arboricoles, il leur faut une plate forme d'atterrissage. Contrairement aux abeilles ils ne peuvent pas pénétrer dans un trou en volant.
Et pour les autres il paraît qu'il faut les attirer avec de l'urine de souris dans le trou au sol. Du coup je n'ai jamais essayé. De toute façon j'en ai déjà beaucoup dans le jardin.
Pour les cloportes, une simple planche posée au sol ou l'hôtel posé sur le sol suffit.
Pour les coccinelles, éviter les amoncellements de petites planches entre lesquelles elles vont s'abriter pendant l'hiver. Ça va favoriser la colonisation de coccinelles asiatiques qui est une espèce invasive. Quand on achète des larves de coccinelles, c'est à vérifier. Les asiatiques sont plus agressives, quand il n'y aura plus de pucerons elles vont s'attaquer aux larves de coccinelles indigènes puis même à la plante elle même. Les coccinelles européennes sont moins grégaires et vont trouver des abris dans n'importe quel compartiment de l'hôtel.
Des abeilles, il y 6 ou 7 ruches sur le toit de la Mairie à à peine 20m de mon jardin (On est dans le même paté de maison). Des Bourdons, j'en ai plein tout l'été. Des cloportes aussi. Des papillons itou. Des coléoptères pareil. Des perces-oreilles, je dois faire gaffe quand je cueille une salade. Des coccinelles, j'en ai, mais pas trop*. Bref, je crois que je vais passser mon tour pour l'hôtel à insectes.
(*) : Mais bon, pour les puçerons, j'ai développé ma tekenique et ma taketic. Je nourris mes oiseaux de ville de fin octobre jusque mi-avril. Puis quand les beaux jours reviennent et que les pucerons arrivent sur les rosiers bourgeonnant, je stoppe la bouffe. Et là, je vois les mésanges sur les branches de rosiers et autres arbustes en train de bouloter cette vermine.
A deal is a deal ! Y'a pas de mais !